Ce congé supplémentaire d’un à deux mois par parent s’ajoute aux congés maternité et paternité existants, avec un niveau d’indemnisation plus élevé que le congé parental actuel, également maintenu.
La proposition de loi, votée jeudi, concerne les milliers de personnes ayant été sanctionnées pour avoir eu recours ou avoir pratiqué des avortements avant 1975. Elle ne prévoit toutefois pas de mécanisme de réparation financière.