L’attaque de l’Etat hébreu, mardi, contre une réunion de dirigeants du Hamas palestinien qui se tenait dans l’émirat a contraint l’administration américaine à un exercice incertain de communication.

Le président américain a assuré mardi que ce n’était « pas sa signature » qui figurait sur une lettre d’anniversaire à la tonalité salace adressée en 2003 à Jeffrey Epstein.

La plus haute juridiction américaine a programmé une audience « la première semaine de novembre ». Elle a été saisie par l’administration Trump après qu’une cour d’appel a confirmé l’illégalité des droits de douane dits réciproques décidés par les Etats-Unis. Les surtaxes restent pour l’instant en vigueur.

En refusant de se soumettre à l’« examen périodique universel sur la situation des droits humains » prévu en novembre par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, les Etats-Unis se détachent un peu plus des instances multilatérales.

« L’Amérique des “résistantes” » (2/5). En février, l’élue démocrate est passée à la postérité en tenant tête au président américain. Sept mois plus tard, cette éminente juriste continue à se battre sur tous les fronts juridiques.

L’administration Trump reproche aux autorités démocrates de l’Illinois d’avoir remis en liberté des personnes ayant commis de multiples crimes.

La Cour suprême américaine a levé, lundi, les interdictions de contrôles basés sur certains critères, tel que l’origine ou la langue parlée, qui avaient été imposées par une juge fédérale en juillet.

Alors que Donald Trump niait l’existence de ce courrier, une missive illustrée et signée refait surface, relançant les interrogations sur ses liens passés avec Jeffrey Epstein.

Le président américain avait été condamné en janvier 2024 par un jury populaire, qui l’avait estimé coupable d’avoir diffamé cette ancienne chroniqueuse du magazine « Elle » après qu’elle l’eut accusé de viol dans les années 1990.

Le biologiste américain, dont la carrière a été bouleversée, en 1986, par des allégations de fraude scientifique sans fondement, a dû attendre dix ans pour être blanchi.

La politisation de la science, actuellement à l’œuvre aux Etats-Unis, constitue une dangereuse régression pour un pays où nombre des vaccins aujourd’hui visés ont précisément été mis au point.

« L’Amérique des “résistantes” » (1/5). Depuis le retour au pouvoir du milliardaire, « Le Monde » est parti à la rencontre d’Américaines qui ont osé lui tenir tête. Premier volet avec Mariann Edgar Budde, dont les propos sur les migrants, au lendemain de l’investiture, ont marqué les esprits.

Dans les mains des dirigeants, le smartphone, extension du pouvoir, peut devenir un outil de propagande, voire une arme, assure le documentaire clair et didactique de Sylvain Pierron.

Entre faux-semblants diplomatiques en Alaska et vraies offensives militaires en Ukraine, le Kremlin entretient l’ambiguïté et renforce l’inquiétude des Européens.

Elle avait cofondé cette association qui se bat pour faire la lumière sur les « disparus » durant les années de dictature, parmi lesquels sa fille enceinte et son gendre. Rosa Roisinblit était parvenue en 2000 à retrouver son petit-fils, né pendant la captivité de sa fille, et avait fait traduire des militaires devant les tribunaux.

Reflet d’un bouleversement culturel majeur, des entreprises de tech américaines telles Meta, OpenAI ou Google s’autorisent désormais à être actives dans les secteurs militaire et de la sécurité nationale, rejoignant les pionniers Palantir ou Anduril.

Des militaires américains, qui devaient mettre sur écoute Kim Jong-un en 2019, ont abandonné leur mission après avoir tué au moins deux Nord-Coréens désarmés. « Je ne sais rien à ce sujet », a réagi le président américain.

En s’en prenant brutalement à la Réserve fédérale, le président américain alimente les critiques contre les tentatives d’emprise des Etats sur les banques centrales. Devons-nous pour autant laisser ces institutions aux mains des experts et des techniciens ?, s’interroge l’économiste Jézabel Couppey-Soubeyran dans sa chronique.

Le président américain entend envoyer un message de « victoire et de force ». Le décret devra être entériné par le Congrès pour que le département de la défense change réellement de nom.

Après avoir promis ces derniers jours la « lutte armée » face à la « menace » de la présence américaine dans les Caraïbes, le président vénézuélien a estimé, vendredi, qu’« aucun des différends » avec les Etats-Unis « ne justifiait un conflit militaire ».