La Banque centrale européenne (BCE) a abaissé jeudi son principal taux directeur de 0,25 point, afin de revigorer la croissance économique dans la zone euro, menacée par la guerre commerciale américaine, alors que l’inflation dans cette zone s’oriente vers l’objectif de 2 %
Cet accord avec l’Argentine, le Brésil, l’Uruguay et le Paraguay doit permettre à l’Union européenne d’exporter notamment plus de voitures, de machines et de spiritueux, en échange de l’entrée de viandes, sucre, riz, miel ou soja sud-américains. La France y est fermement opposée dans sa forme actuelle.
Le président américain a une nouvelle fois attaqué Jerome Powell, lui reprochant de ne pas baisser les taux de la banque centrale. Une manière de faire diversion alors que les signes de ralentissement de l’économie américaine commencent à apparaître ici et là, constate Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».