La décision du gouvernement de réduire le montant de l’aide publique au développement apportée par la France risque d’avoir un impact négatif sur la santé mondiale, estiment trois membres du think tank Santé mondiale 2030 dans une tribune au « Monde ».
Les résultats des votes du 20 octobre affaiblissent la présidente pro-européenne, Maia Sandu. C’est un avertissement pour la Géorgie, qui se rend aux urnes le 26 octobre, mais aussi pour l’Union européenne : Moscou ne lâche rien.