Unies par un même rejet de la démocratie et par leurs velléités expansionnistes, les trois puissances pourraient s’entendre temporairement pour opérer un partage du monde aussi illégitime que fragile, prévient le sinologue Benoît Vermander, un jésuite particulièrement au fait des relations entre le Vatican et Pékin, dans une tribune au « Monde ».