Trente-cinq ans après la réunification, le réarmement s’apparente à une révolution copernicienne à laquelle tous les Allemands ne sont pas encore prêts, mais qui pourrait faire du pays une puissance d’équilibre dans un espace européen sous haute tension, affirme le géographe Boris Grésillon, dans une tribune au « Monde ».
Le débat politique se concentre sur le stock de dette, oubliant que c’est la trajectoire qui compte. Or, les intérêts augmentent, réduisant toute marge de manœuvre, explique Eric Albert dans sa chronique.