Le milliardaire, figure de la tech américaine, fustige un ordre global qui pétrifie le progrès. Mais, selon la chercheuse, lui et d’autres acteurs de la Silicon Valley y substituent un totalitarisme technologique auquel l’Europe ne doit pas adhérer.
Dans une tribune au « Monde », la spécialiste des Etats-Unis souligne que la méthode principale du président des Etats-Unis « reste celle du rapport de force, au mépris du droit international et des alliances établies ». Ce qui se solde par des résultats inégaux.
Les demandes de cartes de résident permanent des ressortissants des pays concernés – Afghanistan, Birmanie, Tchad, Cuba… – tout comme les demandes de naturalisation sont interrompues.