La cour d’assises du Doubs a détaillé, lundi, les motivations de la condamnation à la réclusion à perpétuité prononcée contre le « tueur en série » pour les empoisonnements de 30 patients, dont 12 n’ont pas survécu.
De nombreux chercheurs constatent un regain du religieux chez les jeunes, associé à un certain rigorisme. Une quête de spiritualité corrélée aux inquiétudes véhiculées par l’époque et parfois par une quête identitaire.
Depuis un an, la direction reprochait à Madjouline B. de porter quotidiennement et en toutes circonstances un calot, équipement de protection en tissu, porté habituellement au bloc opératoire ou en réanimation.