La Maison Blanche veut peser de tout son poids sur l’agenda des institutions financières. Un membre de l’administration Trump, Dan Katz, vient d’être nommé numéro deux du Fonds monétaire international et le financement des énergies fossiles revient à l’ordre du jour.
Face à la multiplication des restructurations et des défaillances, le dispositif créé pendant les années de Covid-19 a rouvert au printemps avec un volet renforcé sur la formation et le dialogue social. Les entreprises s’en saisissent timidement.
L’« accord relatif à la gestion des emplois et des parcours professionnels au sein du groupe BPCE 2025-2028 », signé en juillet, n’a paradoxalement pas l’objectif d’anticiper l’impact des nouvelles technologies sur l’emploi, ni d’adapter les parcours professionnels à l’évolution numérique des métiers, explique la journaliste du « Monde » Anne Rodier dans sa chronique.