Au terme d’un sommet automobile à Berlin, la coalition de Friedrich Merz s’est prononcée en faveur d’une réforme de la réglementation européenne fixant à 2035 la fin du moteur émetteur de CO2. A Bruxelles, Ursula von der Leyen tente de sauver l’un des textes les plus emblématiques du pacte vert européen.
La marque assure vouloir satisfaire à la fois 180 000 « ferraristi » – les acheteurs des bolides, appartenant aux familles les plus fortunées de la planète –, et 400 millions de « tifosi », amoureux de la compétition automobile et de la culture Ferrari.