Alors que l’atterrissage politique de ce texte demeure incertain, le garde des sceaux affirme qu’il veut « envoyer un peu plus de gens en prison, mais moins longtemps », avec l’espoir que cette sanction puisse avoir un effet sur la récidive.
Les plateformes sont inondées de contenus discriminants créés avec Veo 3, un outil de Google utilisant l’intelligence artificielle. A l’œuvre, des comptes diffusant à large échelle des stéréotypes sur les personnes noires, arabes, asiatiques ou juives, souvent sous couvert d’humour.
Le garde des sceaux a listé les dix articles de ce projet de loi qu’il souhaite présenter « en octobre ou novembre » en conseil des ministres, après avoir saisi « en septembre » le Conseil d’Etat pour avis.