Une note conjointe du service statistique du ministère de l’éducation nationale et de celui de la justice, publiée mardi 4 novembre, deux jours avant la Journée nationale de lutte contre le harcèlement, montre le développement de la judiciarisation de ces actes.
L’institution reproche notamment à l’entreprise d’avoir, dès 2013, imposé aux professionnels abonnés de ne recourir qu’à ses services par une clause d’exclusivité insérée dans ses contrats. La société fait appel.