Le Pacifique
Centre de développement chorégraphique national

Publié le 28.06.2022 à 15:20

12.09 ➜ 16.09 2022

Formée en danse contemporaine en Belgique, Magali Benvenuti est interprète, chorégraphe et pédagogue. Elle obtient en parallèle un Master d’Allemand et un DU de Russe. Les langues nourrissent sa recherche artistique.

Elle a été interprète chez Jean-Claude Gallotta (CCNG), Ugo Dehaes (Kwaadbloed Cie, Bruxelles), la Cie Scalène (Grenoble), Véronique His (La Libentere, Rouen).

Elle fonde la Cie Tancarville en 2011 à Grenoble. Elle collabore et co-écrit avec des artistes issues de la danse, du théâtre, de la musique, de la vidéo, ou encore des arts plastiques. Des duos se forment avec Mariana Pimentel, Mélanie Martel, Leïla Bergougnoux, Valérie Gourru, Marjorie Blériot, Sophie Boucher, Aude Boucon. Elle s’intéresse aux formes hybrides, débridées, inclassables, teintées d’auto-dérision.

Découvrir la Cie Tancarville

Hexe de Magali Benvenuti

Hexe

« Hexe » (« sorcière » en allemand), retrace la vie gesticulée, mouvante et mouvementée de la danseuse expressionniste Valeska Gert, dans l’Allemagne des années 1920. Une artiste dérangeante, grimaçante, anticonformiste et sans gêne, qui mêlait danse, théâtre, chant et cabaret.

L’histoire individuelle de cette femme croise l’histoire politique et culturelle de l’Europe, et aborde de manière plus large les thèmes du féminisme, de la montée de l’antisémitisme, de l’exil, de l’émancipation artistique et intellectuelle.

Venez découvrir ce solo où mots et danses mettent en lumière une époque et la vie d’une danseuse, dont l’histoire, toujours en mouvement, est tombée dans l’oubli !

En savoir plus sur Hexe
Photos de Ullstein Bild et Leïla Bergougnoux

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Publié le 28.06.2022 à 15:17

19.09 ➜ 28.09 2022

 

« Je suis née en 1989 en Charente-Maritime d’un père camerounais et d’une mère française. Je suis mes premiers cours de danse moderne jazz et classique à 9 ans. Je  me forme ensuite au Conservatoire de Bordeaux ainsi qu’auprès d’Alain Gonotey Cie Lullaby entre 2004 et 2006. C’est en 2007 que je m’oriente plus particulièrement vers la danse contemporaine lorsque j’intègre la Formation d’artiste chorégraphique du Centre National de Danse Contemporaine d’Angers (CNDC) sous la direction d’Emmanuelle Huynh.
En parallèle, je poursuis des études littéraires à l’Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle jusqu’en 2014 où j’obtiens un master 2 en lettres modernes.
Je termine la formation au CNDC d’Angers en 2009 et je débute en même temps ma carrière d’interprète auprès d’Emmanuelle Huynh (Cribles, Augures) et Alain Buffard (Tout va bien). Par la suite, je multiplie les expériences d’interprète pour des chorégraphes aux esthétiques diverses : Raphaëlle Delaunay (Bitter Sugar), Fanny de Chaillé (Passage à l’acte), Gaël Sesboüé (Grammes), Éléonore Didier (Moi, mes copines, à l’instant où ça s’arrête), Anne Collod (Le parlement des Invisibles), Herman Diephuis (Clan ; Mix), Nina Santès (Hymen Hymne).
Toutefois, mon parcours d’interprète sera principalement marqué par la rencontre et collaboration avec Marlene Monteiro Freitas qui commence en 2014 et se poursuit aujourd’hui (D’ivoire et chair, les statues souffrent aussi ; Bacchantes, prélude pour une purge).
D’autres expériences viennent nourrir ma pratique d’artiste interprète. Notamment des performances pour le plasticien Alex Ceccetti et un premier rôle dans Secteur IX B, un film de Mathieu K. Abonnenc présenté à la Biennale de Venise 2015.
Par ailleurs, depuis ma sortie de l’école du CNDC d’Angers en 2009 je n’ai jamais dissocié ma pratique d’interprète d’une pratique d’auteure. Cette dernière prendra différentes formes : en 2012 je signe –A– ou il a sûrement peur de l’eau le poisson, en collaboration avec le musicien Romain Mercier ; puis en 2013, je crée un spectacle in situ intitulé Le Rivage en collaboration avec Oriane Déchery et Jérôme Andrieu.
En 2016, j’intègre l’Association Lola Gatt Productions chorégraphiques implantée à Brest en tant que chorégraphe associée avec Gaël Sesboüé et Marie-Laure Caradec. La même année, je chorégraphie et mets en scène Madame, une pièce pour trois interprètes. En 2020 je crée un solo intitulé Mascarades que j’interprète et chorégraphie. Aujourd’hui, je travaille sur une pièce pour quatre interprètes dont une enfant intitulée Leçons de Ténèbres et dont la création est prévue pour septembre 2022. »
– Betty Tchomanga
Leçons de ténèbres de Betty Tchomanga

Leçons de ténèbres

Dans Leçons de Ténèbres*, quatre corps se font les porte-voix de récits oubliés ou que l’on a voulu faire disparaître. Ils sont chevauchés par des forces qui les relient, agitent leurs poitrines. Elles se gonflent et se dégonflent, donnent des coups, sont traversées par des impacts. Les Leçons de Ténèbres de Betty Tchomanga pleurent des destructions du monde et de la Terre. Elles parlent des ténèbres et depuis les ténèbres, pour explorer l’obscur, nos histoires cachées et enfouies.

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Publié le 28.06.2022 à 15:16

19.10 ➜ 27.10 2022

Saïef Remmide débute la danse par le hip-hop. Formé par des membres de la compagnie Styl’O’Styl et Wanted Posse, il s’est continuellement inspiré d’autres formes d’art du geste pour rapidement trouver une approche qui lui est propre.

Après de multiples compétitions à travers le monde au côté du groupe de breakdance « Alliance », Saief s’est dirigé vers la danse contemporaine aux côtés de Rachid Ouramdane, Mourad Merzouki, et Willi Dorner. Au fil des tournées, il se forme à certaines techniques de danse aux côtés de Kimson et Dedson, de David Zambrano et de Sidi Larbi Cherkaoui.

Aujourd’hui, il porte un autre regard sur les danses dites « urbaines » et cherche à favoriser les rencontres pluridisciplinaires, les échanges et les réflexions autour du geste dansé. Sa démarche chorégraphique est orientée par une recherche de lien entre les individus.

Complex-Us de Saief Remmide

Complex-Us

La notion de lien anime les deux précédentes créations de Saïef Remmide: ce qui rassemble, unifie, assimile, mais aussi ce qui contraint, entrave et asservi.

Ce troisième volet Complex-Us implique un quatuor aux pratiques hybrides du mouvement (Danse, cirque, arts martiaux).

Certains constats et principes de «la Pensée complexe » mis à jour par Edgar Morin étayent les règles de jeu de cette mise en présence hétéroclite.

L’intention est de laisser affleurer une créativité impromptue :  révélatrice d’un processus omniprésent, spontané et subtil, qui libéré de toute intention et détermination préalable, forge du lien entre les êtres, les cultures et les usages.

La volonté est de laisser advenir, sans scepticisme, cette auto-organisation échappant à toute volonté et projection anticipée.

Un cheminement vers des interactions imprévues et singulières…

 

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Publié le 28.06.2022 à 15:15

21.11 ➜ 02.12 2022

Aline Landreau est danseuse et chorégraphe, et crée des ponts entre architecture, scénographie, costume, graphisme numérique, construction et paysage. Son travail entremêle les textures et les environnements et interroge la zone du trouble perceptif à travers mouvement, voix, son et matières. Elle créé ainsi Blur! (2015), Vox (2016), Souterrains (2017), Corpus (2020) et sa version muséale Si Loin si proche (2021) à l’origine de Narcisse.

Aline oeuvre également dans Météores – plateforme chorégraphique qu’elle co-fonde en 2010 – et mène des projets de sensibilisation et de transmission dans des contextes multiples, guidée par son intérêt pour les techniques somatiques et l’improvisation.

En savoir plus sur Aline Landreau et sur Météores

Narcisse, une pièce d'Aline Landreau

Narcisse

Narcisse nous plonge dans une traversée, celle d’un personnage en quête de lui-même.

Il agit, il avance, il transforme. Il construit un espace où poser ses pieds, son corps tout entier, un espace où se sentir bien et entouré, un espace où se reposer et rêver.

Narcisse vient réouvrir le grand livre du mythe du même nom et explore ses propres facettes vers une acceptation de lui-même et des autres. Il invite même ses autres corps possibles, en jouant avec les notions de reflet, de double, d’androgynie, d’illusion, de magie et de métamorphose. Et si nous pouvions atteindre l’envers du décor, les faces cachées des choses, des personnes et des visages?

Narcisse raconte une transformation, ce moment où l’on laisse l’enfance pour grandir et occuper sa place dans la société. Pour accéder à la dimension politique du monde adulte, où printemps signifie aussi révolte et renouveau.

Retrouvez le Qu’est ce qu’on fabrique d’Aline Landreau le MER 30.11 à 15h (dès 7ans) au Pacifique !

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Publié le 28.06.2022 à 15:14

12.12 ➜ 16.12 2022

C’est en 1988 à Grenoble que Sylvie Guillermin crée son premier solo sur perche et sa compagnie. Sous l’impulsion de cette première création, la Maison de la Culture de Grenoble coproduit sa nouvelle pièce en 1990 et lance sa carrière, qui va se construire autour de résidences dans des théâtres à rayonnement national et régional. Elles sont autant d’occasions pour elle de développer ses créations et son goût pour la transmission.

Si Sylvie Guillermin sculpte sa danse jusque dans les plus fins détails, c’est pour y questionner la condition humaine. Avec gourmandise, elle enrichit son univers poétique par des croisements avec des artistes venus du cirque, de la peinture, du théâtre, de la chanson, de la musique et des arts visuels.

En savoir plus sur la Cie Sylvie Guillermin

Les Désaxés de Sylvie Guillermin

Les Désaxés

Créé en 1988, le solo “L’Ile aux Vents”, devenu “Tête en l’air” lors de sa recréation en 1998, est le premier solo de la chorégraphe. Sylvie Guillermin pose alors les bases d’une forme de danse verticale originale qu’elle développe par la suite dans d’autres pièces, notamment lors de la création de « Nous ne sommes pas des oiseaux » au Dôme Théâtre d’Albertville en 2008, fêtant ainsi les 20 ans de la compagnie. Cette pièce est formée de trois opus qui traitent de manière différente la condition humaine. En première partie se trouve le solo sur perche de 5m qui reprend certains thèmes de « Tête en l’air », comme l’évasion, l’envol, le besoin de solitude et la peur de la société. A la manière du « Baron perché » d’Italo Calvino, ce personnage ne peut être en accord avec lui-même que dans une canopée imaginaire, éloignant ainsi de lui les lourdeurs et violences du monde.

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Publié le 28.06.2022 à 15:13

02.01 ➜ 11.01 2023

Elle est artiste (chorégraphe, danseuse, vidéaste) et pédagogue.

Athlète de formation (elle est entrainée par l’entraineur de Carl Lewis au Texas) et après des études de lettres, elle se forme à la danse au conservatoire, au CDCN Toulouse Occitanie, au Merce Cunningham Studio à New York, enfin lors de très nombreux stages et workshops. En parallèle à ses activités liées à la danse, elle est élève au Fresnoy, Studio National des Arts Contemporains à Tourcoing entre 2005 et 2007. Elle intègre en 2015, le master SPEAP programme d’expérimentation en arts et politique de Sciences Po Paris, fondé et dirigé par le philosophe Bruno Latour. Enfin en 2017 elle participe à la formation Prototype à la fondation Royaumont, dirigée par Hervé Robbe. En 2004, elle crée l’Association Richard portant la création de plusieurs spectacles : le solo En privé à Babylone, le duo Jack in the box, le quatuor Hommage d’un demi-dimanche à un Nicolas Poussin entier, les duo Roi et Reine à Montpellier danse, SOCLE avec l’écrivain Pauline Klein dans le cadre du festival Concordanse(s), le duo Rose coécrit avec Rachel Garcia pour le festival entre cour et jardins. Tout récemment la pièce Sketches qu’elle interprète avec la danseuse chinoise ErGe Yu. À l’invitation de l’artiste Delphine Coindet elle créé les performances in situ Des gestes choisis (2017, Nuit Blanche à la Collégiale Saint-Martin de la ville d’Angers) et Mon club de plongée (2019) au MIAM, Musée des Arts Modestes de Sète.

Depuis 2001, elle a travaillé comme interprète auprès de Gisèle Vienne et Etienne Bideau-Rey, Thierry Bédard, Christian Rizzo, Herman Diephuis, Thierry Baë, David Wampach, Julie Desprairies, Sylvain Prunenec, Xavier Le Roy, Ivana Muller. Elle joue également dans les performances et films des artistes Pauline Curnier-Jardin, Ulla Von Brandenbourg, Tino Sehgal, Alex Cecchetti et de la cinéaste Shalimar Preuss.

Les Délivrés

Deux danseuses – une mère et sa fille – répètent une pièce inspirée du chorégraphe américain William Forsythe qu’elles admirent profondément toutes deux. Le processus créatif réunit pour la première fois les deux femmes mais ne sauraient faire disparaitre les liens particuliers qui les unissent. Pour cette nouvelle création, la chorégraphe stéphanoise Hélène Iratchet compose une partition facétieuse en prise direct avec l’entremêlement des corps et des objets, un entremêlement exacerbé par la société de consommation où désormais le livreur incarne une nouvelle figure de la précarité. Les pas de danses se mélangent aux dialogues entre les divers protagonistes, les dialogues aux messages automatiques, les messages aux musiques et autres bips de nos vies contemporaines. Cette réflexion pleine d’humour sur les chemins de la création familiale s’affronte ainsi à la manière dont le phénomène ultra-contemporain de la livraison métamorphose nos intentions, artificialise nos gestes et le cadre même de nos vies.

 

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Publié le 28.06.2022 à 15:13

janvier ➜ juin 2023

Autel-Hôtel des dépositions est la nouvelle création de Ben Moussa Bangoura, Laye Diakité, Mamadou Aliou Diallo, Pathé Diallo, Mamy Kaba, Ousmane Kouyaté, Sarah Mekdjian, Marie Moreau et Saâ Raphaël Moundekeno. Les protocoles d’activation sont préparés par Marie Moreau.

« De janvier à juin 2023, Autel-Hôtel des dépositions entend ouvrir une première session de création d’actes performatifs dont les matériaux sont nos corps, nos gestes, nos langues, nos mouvements, nos inquiétudes, nos conversations. Ces actes vous sont adressés et interrogent de possibles acquisitions et la possible fondation d’un ensemble de collectioneureuses – gardien·nes – garant·es de nos formats immatériels, processuels. En trois assemblées, nous essaierons, performerons, au sein de vos attentions ».

Un film documentaire vient dans la doublure de cette nouvelle création. Certains d’entre nous vont aussi travailler depuis ces résidences à l’écriture et la future production d’une œuvre cinématographique Hôtel-Autel, produit par Sophie Salbot, Athénaise qui s’interroge sur ce que veut dire résider, habiter, partager.

Autel-Hôtel des dépositions est en création et en partenariat avec le CCN2, l’Observatoire des politiques culturelles et association ex.C.es. Le CCN2 a accueilli la première phase de la création en novembre 2022 en programmant «Minen kolotiri».

 

Réservez votre place pour découvrir « Minen kolotiri » au CCN2 le 8 novembre 2022

https://bureaudepositions.wordpress.com

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Publié le 28.06.2022 à 15:11

06.02 ➜ 10.02 2023

Nature humaine
L’humain fait partie de « ceux qui sont vivants » et tout n’est qu’interaction et coexistence dans un environnement commun. La nature ne pourrait être régie par les humains…
Nature Humaine c’est l’envie et le besoin de redonner sa place au temps et au vivant.
Dans notre société où la nature se vend et se consomme, Nature Humaine s’interroge sur la relation d’interdépendance entre les espèces vivantes.
Nature Humaine souhaite dépasser le dualisme entre Nature et Culture, protéger le fragile équilibre de la biodiversité, comme un appel à la bienveillance et au respect pour peut-être trouver un espace commun, celui du vivre ensemble.

L’article Annelise Pizot est apparu en premier sur Le Pacifique.


Publié le 28.06.2022 à 15:10

27.02 ➜ 03.03 2023

Ariadna’s Torche (Le flambeau d’Arianne) est une recherche sur notre relation avec la notion de la communauté et commun. Pendant plusieurs mois, durant les moments de résidences au Pacifique et ailleurs, Ivana Müller et Bojana Kunst vont travailler sur la partition pour un œuvre participative qui s’étendra sur une période de 10 ans, ou du moins aussi longtemps que cela aura un sens. Il s’agira d’une capsule temporelle contenant une partition qui invitera chaque année un autre groupe de personnes (une communauté, une chorale, une organisation, un collectif) à repenser l’idée d’être ensemble dans l’instant présent » : à créer des engagements, des connexions et des réseaux, à travailler pour soutenir la pratique du partage et du rassemblement.  Devenant une pratique collaborative qui se déroulera dans une temporalité étendue, et dans une communauté locale, ce travail réfléchira également au processus de vieillissement, de transformation, de transmission et à l’idée de « générations », visant à préserver la persévérance des communautés, la solidarité et l’attention.

Chaque année, le groupe de travail, après avoir réalisé sa version/interprétation de la partition, désignera le nouveau groupe pour « refaire » ou « repenser » la même chose, de telle sorte que la partition va se relayer, passant les ressources de main en main.

Bien que la première version de la pièce ait lieu à Ljubljana (Slovénie), dans la programmation du magazine d’art MASKA en collaboration avec le festival Mladi Levi, elle pourrait également être réalisée dans d’autres contextes. L’œuvre sera développée en collaboration avec Le Pacifique, dans le cadre d’un projet d’artiste associé et avec ORLA.

L’article Ivana Müller & Bojana Kunst est apparu en premier sur Le Pacifique.


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