La publication de l’intégralité des documents pourrait ne pas advenir avant plusieurs semaines, les détails concernant les victimes devant être expurgés afin d’assurer leur protection.
Alors qu’une nouvelle conversation privée de l’éditorialiste de « Libération » est exploitée par les médias conservateurs et d’extrême droite depuis mardi 16 décembre, le journaliste et l’ex-numéro deux de Radio France, Laurence Bloch, viennent de porter l’affaire en justice.
Le ministère des affaires étrangères a dit souhaiter, mercredi, continuer « de travailler à la reprise d’un dialogue exigeant » avec Alger, malgré la multiplication des signes de contentieux entre les deux pays ces dernières années.