Si les filières bovine et de volaille, les producteurs de betterave, de sucre et d’éthanol ainsi que les céréaliers redoutent une concurrence renforcée des pays du Mercosur, la filière laitière et les producteurs de vin et de spiritueux profiteraient, eux, de l’ouverture plus large du marché brésilien.
Le président français estime qu’il est « trop tôt » pour dire si Paris pourra accepter le mois prochain l’accord commercial entre l’Union européenne et le Mercosur, malgré la forte opposition des agriculteurs et partis politiques français.