Dans un entretien à l’Agence France-Presse, le mouvement, qui a proclamé sa dissolution le 12 mai, réclame un allégement de « l’isolement » carcéral de son fondateur, Abdullah Öcalan.
La présidente de la juridiction a estimé, mardi, dans une décision rarissime à ce stade de la procédure, que si les faits sont de nature criminelle les membres de ce groupuscule d’ultradroite doivent être jugés par une cour d’assises.
De nombreux artisans craignent de subir un manque à gagner du fait du nouveau système de financement du transport de malades conçu par l’Assurance-maladie.