Leur déportation se fait en vertu d’un accord donné pour un an et qui concerne cinquante personnes. « Dans le but de faciliter leur retour en toute sécurité dans leur pays d’origine », avait à l’époque affirmé le premier ministre kosovar, Albin Kurti.
La Rue de Cambon relève le taux toujours faible de remplacement des absences de courte durée et la dégradation du remplacement des absences longues. Elle relève également des disparités territoriales et selon les disciplines dans l’efficacité du remplacement.