Le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, a expliqué, mardi, s’attendre à des « actions coup de poing », des blocages voire des sabotages, mais ne pense pas « que ce mouvement mobilise[rait] la société civile ».
Le recteur de la Grande Mosquée de Paris a condamné « avec la plus grande fermeté » ces « actes islamophobes » et a dénoncé « une nouvelle et triste étape dans la montée de la haine antimusulmane ».