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 Flux des élu.e.s écolos à la Métro


 

12.04.2024 à 20:27

Dans nos communes UMA

UMA

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Champagnier/ Champ-Sur-Drac – Culture :

La 2ème édition du festival culturel intercommunal « Avoir 20 ans : hier, aujourd’hui et demain «  a débuté à l’espace Navarre de Champ-Sur-Drac cette semaine. L’édition 2024 est consacré à la jeunesse, avec de nombreux évènements artistiques prévus dans les communes de Champagnier, Champ-Sur Drac et Jarrie

👉 La programmation du festival intercommunal

Grenoble :

Bien-être animal – la ville de Grenoble s’engage auprès des associations de bien-être animal avec le plaidoyer pour les animaux
👉 Lien ici

Nature en ville – Lancement du programme « végétalise ta ville » :
👉 Lien ici

 

12.04.2024 à 19:50

Comité Syndical du SMMAG du 11 avril 2024 : harmonisation des tarifs des réseaux de transports

UMA

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Retrouvez l’intervention de Laura Pfister au comité syndical du SMMAG du 11 avril 2024 sur l’harmonisation des tarifs des réseaux de transport de la Métropole, du Grésivaudan et du Pays Voironnais

Au comité syndical du @SMMAG__officiel, débat sur l'harmonisation des tarifs des réseaux de transport par @Laurapfister1 :
"La tarification est un levier majeur pour massifier l'usage des transports en commun. Notre objectif est d'augmenter le report modal."👇

— Une Métropole d'Avance (@UMA_METRO) April 11, 2024 Intervention-UMA-CS-SMMAG-Harmonisation-des-Tarifs-1Télécharger

 

09.04.2024 à 15:08

Quels objectifs du pacte économique local sur notre territoire ?

UMA

Texte intégral (701 mots)

Des acteurs économiques de la Métropole, du Pays Voironnais et du Grésivaudan ont signé le pacte économique local en 2021. C’est une réponse collective et territoriale des acteurs économiques aux crises sanitaires, sociales et environnementales qui impactent les habitant.es de nos bassins de vie.

Le pacte compte aujourd’hui 31 signataires. Tous des acteurs privés et publics des trois territoires : les EPCI, le CHU Grenoble-Alpes, l’Université Grenoble-Alpes, des entreprises du territoire comme GEG ou encore des grands groupes (le CEA, la banque populaire). Ils représentent près de 16% des emplois sur les trois territoires.

La relocalisation de l’économie et la réduction des gaz à effet de serre nécessite un travail des collectivités avec les entreprises déjà présentent sur le territoire pour qu’elles changent de modèle économique. Il s’agit de remplacer la concurrence entre les entreprises par la coopération, pour favoriser les échanges intra-territoriales et le développement de l’économie circulaire. Le pacte fixe une feuille de route et des actions précises à engager dans différentes thématiques : les mobilités, la sobriété énergétique, le développement de l’économie circulaire entre professionnels, l’alimentation, les achats responsables les besoins de formations, etc.

  • Sur l’alimentation par exemple le pacte facilite la mise en relation des entreprises de restauration collective avec les producteurs locaux et les entreprises qui font appels à la restauration collective. De nombreuses entreprises signataires ont depuis revu à la hausse leurs objectifs d’alimentation bio et local dans leur restauration collective.

Le pacte économique local vient donc renforcer la résilience du tissu économique local face aux chocs extérieurs. Ces pratiques plus vertueuses sont aussi moins nocives pour l’environnement, moins consommatrices de ressources et profitent aux petites structures comme les TPE ou les artisans qui souffrent moins de la concurrence extérieure et sont intégrées à l’activité économique du territoire.

L’objectif du pacte économique est aussi social : les structures d’insertions peuvent interpeller directement les entreprises, pour la mise en œuvre d’actions de solidarités et de protection des emplois locaux. C’est un terrain de développement pour les structures de l’économie sociale et solidaire qui peuvent rencontrer dans le cadre du pacte les entreprises du territoire.

 « Ce pacte nous a permis de faire des ponts entre les publics éloignés de l’emploi que nous accompagnons et les entreprises du territoire. C’est réel un levier d’action pour la mise en œuvre de nos politiques d’emploi et d’insertion »

Céline Deslattes

Pacte économique local : nouvelle rencontre autour d ateliers sur l'insertion, l'emploi, le foncier, l innovation. Partenaires et entreprises réunis pour échanger, évaluer et se projeter sur notre territoire @GrenobleAlpes @UMA_METRO pic.twitter.com/Ry7OoZAX6Z

— Céline Deslattes 🌻🌈⏚ (@celinedeslattes) November 30, 2023

 

09.04.2024 à 14:52

Dix ans de la loi ESS : quel bilan sur notre territoire ?

UMA

Texte intégral (877 mots)

L’économie sociale et solidaire est basée sur des valeurs de solidarités, une manière de produire et de consommer autrement. Elle répond aux besoins des populations des territoires en créent des emplois non délocalisable. Elle repose principalement sur des entreprises et associations à but social, qui œuvrent dans des domaines comme la santé le logement, le service à la personne etc.

En 2014, La loi relative à l’économie sociale et solidaire est venue définir le périmètre de cette économie qui a toujours existé, lui donnant un socle juridique qui permet notamment des financements de la part des collectivités.

Sur notre territoire, le premier soutien aux acteurs associatifs de solidarités date de 2003. Il est antérieur à la définition de l’économie sociale et solidaire. La loi de 2014 est venue mettre en lumière et structurer une économie déjà en place sur dans le bassin grenoblois. L’ESS représente aujourd’hui 10% des entreprises du territoire – dont 1600 associations –  et 10% des emplois salariés (20 000 emplois).

Ces soutiens aux acteurs de l’ESS passent par des financements de projets à travers des subventions directes aux structures, la mise à disposition de trois hôtels d’activités – des locaux qui hébergent 70 entreprises et associations – à Echirolles, Fontaine et Grenoble et une valorisation de cette économie lors d’évènements comme le forum des métiers.

Pour les dix ans de la loi sur l’Economie Sociale et Solidaire, Elizabeth Debeunne, vice-présidente à l’économie sociale et solidaire à Grenoble-Alpes Métropole participera à une table-ronde régionale à Lyon sur le futur que l’ESS peut dessiner. Ce sera l’occasion de mettre en avant la particularité de la politique de l’ESS sur notre territoire.

«  Cette politique métropolitaine de l’ESS se construit directement avec les acteurs en fonction des besoins concrets du territoire. C’est ce qui fait sa particularité. Ceci se traduit par un travail fin avec les outils structurants comme l’association GAIA, qui œuvre pour une économie de proximité, ou encore Ronalpia sur l’accompagnement des porteurs de projets de l’ESS. »

Elizabeth Debeunne, vice-présidente en charge de l’économie sociale, solidaire et circulaire

Les associations et entreprises de l’ESS participent donc aux réflexions sur le soutien à la filière économique : Ils sont directement acteurs de cette politique publique et pas seulement bénéficiaires : quelles filières économiques promouvoir ?

Un travail de prospective sur le modèle économique de l’ESS a aussi été engagé : comment mettre fin à la précarité des salariés de l’ESS ? comment valoriser l’innovation sociale ?

Aujourd’hui l’ESS est encore trop faiblement financer par les collectivités par rapport aux activités économiques « traditionnels ». Les entreprises de l’innovation technologique font l’objet d’accompagnement pluriannuelles et reçoivent des subventions massives : la métropole a accordé 4 millions d’euros de subventions à six entreprises de la nanotechnologie dans le programme NANO 2026 ; et plus de 500 000€ à 6 entreprises dans le cadre des pôles de compétitivité, pour la seule année 2023. Loin des 500 000€ de subventions en fonctionnement pour 38 structures (!) de l’ESS sur le territoire.

Il s’agit de repenser l’activité économique de notre territoire : le dynamisme de notre territoire se définit-il par une forte croissance économique, c’est-à-dire une forte exploitation des ressources et des corps ?

Nous souhaitons la mise en valeur d’une économie composée de milliers de structures basée sur des valeurs de solidarités et d’innovation sociale, qui vise l’émancipation de toutes et tous au détriment de la rentabilité. Cette économie bénéficie quotidiennement à des milliers de personnes, et en fait vivre des milliers d’autres. Elle fait le dynamisme et l’attractivité de notre territoire.

 

08.04.2024 à 19:11

Le premier Rapport Annuel sur les Risques et la Résilience dans l’Aire Grenobloise

UMA

Texte intégral (919 mots)

Le premier Rapport Annuel sur les Risques et la Résilience dans l’Aire Grenobloise (le RARRe) sera présenté ce mercredi 10 avril à la Plateforme à Grenoble, Place Verdun. Alors que des études sur la trajectoire climatique du territoire ont déjà été réalisées dans le cadre de la Convention Citoyenne Métropolitaine pour le Climat, préparer l’adaptation et la résilience du territoire aux risques est indispensable.

La production d’un rapport prospectif sur les futurs risques qui pèsent sur notre territoire apporte une expertise sur les vulnérabilités et le potentiel de résilience de l’aire grenobloise face aux risques futurs. L’objectif est d’aider à la mise en œuvre de politiques publiques de résilience et d’adaptation face aux risques climatiques et technologiques qui pèsent sur notre territoire, et de donner les clés aux acteurs politiques locaux pour anticiper ces risques.

Ce projet mené par l’Atelier des Futurs, plateforme locale des prospectives de l’AURG, est inspiré du rapport annuel sur les risques globaux du forum de Davos qui analyse les risques systémiques à l’échelle mondiale.

La démarche s’est effectué en 3 trois étapes :  une analyse de l’exposition actuelle et future du territoire et des populations de l’aire grenobloise, une enquête pour explorer la représentation des risques auprès des habitants, et un Forum du RARRe avec les élu.es du territoire pour réfléchir collectivement à des pistes de résilience et de politiques publiques répondant aux risques identifiés.

44 risques ont été identifiés. Pour chacun des risques et vulnérabilités le RARRe fait un point sur l’état des connaissances locales actuelles, les perspectives d’évolutions et les interactions avec d’autres risques manifestations locales déjà présentes.

les risques technologiques et industriels font partie des risques majeurs identifiés. L’agglomération grenobloise abrite de nombreux sites industriels Seveso dont trois d’entre eux font l’objet d’un plan de prévention des risques technologiques : notamment sur les plateformes chimiques de Pont-De-Claix et Jarrie. Si le risque industriel est documenté et connu des pouvoirs publics, Le Rarre alerte sur « le manque d’études prospectives sur l’évolution de ces risques technologiques dans un contexte futur marqué par le changement climatique et la raréfaction possible de certaines ressources et moyens de nature à impacter le niveau de surveillance et de maintenance des installations. En outre, aucune étude n’est identifiée concernant d’éventuels effets domino entre les risques technologiques ou entre risques naturels et technologiques »

Le rapport identifie aussi les autres risques qui « pourraient vraisemblablement impacter le fonctionnement des sites et installations génératrices de risques technologiques » : les catastrophes naturelles liées au changement climatique, la tension sur la ressource en eau, les difficultés d’approvisionnement énergétiques.

La phase de l’enquête auprès des acteurs locaux a fait apparaître que la tension sur la ressource est le risque qui inquiète le plus les habitants de la métropole.

La sécheresse de 2022 est une première alerte. Notre territoire a une eau potable de grande qualité et en quantité actuellement suffisante, il s’agit aujourd’hui de hiérarchiser les usages : en priorité les besoins vitaux des populations, puis les consommations agricoles, et enfin industrielles. La tarification progressive sur la consommation d’eau mise en place par la vice-présidente au cycle de l’eau Anne-Sophie Olmos permet de limiter les consommations excessives, notamment industrielles. La pollution d’une des deux nappes phréatiques sous la métropole par les industries chimiques est également problématique. Des risques de transferts entre les deux nappes existent. Notre politique de l’eau vise à ce que le principe de pollueur-payeur s’applique sur le territoire.

Ce rapport nous donne donc des perspectives sur les tensions et risques qui pèsent sur la ressource en eau dans le futur pour nous permettre de mettre en place des mesures d’anticipation.

Les élu.es du territoire ont enfin été consultés en tant que décideurs et experts des politiques publiques lors du forum du RARRE en février 2024. Leur expertise et questionnements viennent finaliser la phase d’élaboration du rapport annuel qui peut désormais être dévoilé.

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