Les données fournies par le ministère de l'Intérieur à Altreconomia sur les charters entre Palerme et Tabarka sont sans équivoque : l'accord conclu avec le président Saïed par l'ancienne ministre Lamorgese, puis poursuivi par Piantedosi et Meloni, s'est fissuré. Un scénario inédit pour le Viminale (ndt : siège du ministère de l'Intérieur), qui, à travers ces expulsions, a tenté de masquer l'inefficacité du système des Centres de rétention pour le rapatriement. Entre-temps, des centaines de personnes retenues dans ces centres devraient être libérées.