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23:47 Israël: la "peine de mort pour les terroristes" passe la première lecture au Parlement

Le Parlement israélien a adopté lundi soir en première lecture une proposition de loi visant à instaurer "la peine de mort pour les terroristes", texte taillé sur mesure pour s'appliquer aux Palestiniens reconnus coupables d'attaques ou d'attentats meurtriers anti-israéliens.

Le texte a été adopté à une majorité de 39 voix contre 16. Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, figure de l'extrême droite israélienne, avait menacé de cesser de voter avec la majorité soutenant le Premier ministre Benjamin Netanyahu (droite) si cette proposition présentée par une élue de son parti n'était pas soumis à un vote à la Knesset.

Des votes en deuxième et en troisième lectures sont encore nécessaires pour que le texte puisse devenir loi.

mib-mj/liu

© Agence France-Presse

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Le Parlement israélien a adopté lundi soir en première lecture une proposition de loi visant à instaurer "la peine de mort pour les terroristes", texte taillé sur mesure pour s'appliquer aux Palestiniens reconnus coupables d'attaques ou d'attentats meurtriers anti-israéliens.
Le texte a été adopté à une majorité de 39 voix contre 16. Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, figure de l'extrême droite israélienne, avait menacé de cesser de voter avec la majorité soutenant le Premier ministre Benjamin Netanyahu (droite) si cette proposition présentée par une élue de son parti n'était pas soumis à un vote à la Knesset.
Des votes en deuxième et en troisième lectures sont encore nécessaires pour que le texte puisse devenir loi.
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23:00 Syrie   Trump a reçu Chareh, une rencontre historique et discrète

De la liste noire du FBI à la Maison Blanche: Donald Trump a reçu lundi Ahmad el-Chareh, une première pour un chef d'Etat syrien et une consécration pour l'ancien jihadiste.

Le département d'Etat a annoncé à l'occasion de cette visite historique une nouvelle pause des sanctions américaines de la loi César, en attendant que le Congrès ne les lève éventuellement pour de bon.

Le président syrien est arrivé discrètement à 11h37 locale (16h37 GMT) à la Maison Blanche. Il est passé par une entrée latérale, sans le protocole habituellement réservé aux chefs d'Etat et de gouvernement étrangers, que le président américain vient presque toujours accueillir sur le perron.

Les journalistes n'ont pas non plus été conviés dans le Bureau ovale en présence des deux dirigeants, comme c'est généralement le cas lors de visites officielles.

Le dirigeant a quitté les lieux aux alentours de 13h20 locales (18h20 GMT), et s'est arrêté quelques instants pour saluer des partisans qui l'acclamaient devant la Maison Blanche.

La présidence syrienne a publié un communiqué laconique, accompagné de quelques photos, indiquant que les deux dirigeants avaient évoqué « les manières de développer et renforcer » la relation bilatérale, ainsi que « plusieurs sujets régionaux et internationaux ».

« Très bon travail »

Ahmad el-Chareh a obtenu une nouvelle pause pour 180 jours de la loi César qui imposait des sanctions américaines drastiques contre le gouvernement de Bachar el-Assad, et qui avait déjà été suspendue en mai.

Le département d'Etat américain est favorable à une levée complète de cette loi adoptée en 2019, qui bannissait la Syrie du système bancaire international et des transactions financières en dollars, mais cela passe par un vote du Congrès.

Jeudi dernier Donald Trump, qui se voit en grand pacificateur du Moyen-Orient, avait estimé que son invité faisait « un très bon travail » en Syrie. 

« C'est un gars dur. Mais je me suis très bien entendu avec lui » lors d'une entrevue en Arabie saoudite en mai, avait-il ajouté.

A l'époque, le milliardaire de 79 ans avait jugé son homologue de 43 ans « fort » et « séduisant ».

Pendant la visite du président intérimaire syrien, dont la coalition islamiste a renversé le dirigeant de longue date Bachar el-Assad en décembre 2024, Damas devait signer un accord pour rejoindre la coalition internationale antijihadiste menée par les Etats-Unis, selon l'émissaire américain pour la Syrie, Tom Barrack. 

Les Etats-Unis, eux, prévoient d'établir une base militaire près de Damas, « pour coordonner l'aide humanitaire et observer les développements entre la Syrie et Israël », selon une autre source diplomatique en Syrie.

Israël

Vendredi, Washington avait retiré le dirigeant syrien de la liste noire des terroristes. Depuis 2017 et jusqu'à décembre dernier, le FBI offrait une récompense de 10 millions de dollars pour toute information menant à l'arrestation du leader de l'ancienne branche locale d'el-Qaëda, le groupe Hay'at Tahrir al-Cham (HTC).

Jeudi, le Conseil de sécurité de l'ONU avait aussi levé les sanctions contre Ahmad el-Chareh, à l'initiative des Etats-Unis.

Dès sa prise de pouvoir, le dirigeant syrien a rompu avec son passé, multipliant les ouvertures vers l'Occident et les Etats de la région, dont Israël avec lequel son pays est théoriquement en guerre. Il a toutefois aussi promis de « redéfinir » la relation de son pays avec la Russie de Vladimir Poutine, allié-clé de Bachar al-Assad, qu'il a rencontré à Moscou il y a moins d'un mois. 

« Trump amène Chareh à la Maison Blanche pour dire qu'il n'est plus un terroriste (...) mais un dirigeant pragmatique et, surtout, flexible qui, sous la direction américaine et saoudienne, fera de la Syrie un pilier régional stratégique », explique Nick Heras.

Les présidents américain et syrien devaient également évoquer les négociations entamées par les autorités syriennes avec Israël pour un accord de sécurité en vertu duquel l'Etat hébreu se retirerait des zones du sud du pays occupées après la chute de Bachar el-Assad.

En mai, Donald Trump avait pressé son homologue syrien de rejoindre les accords d'Abraham, qui ont vu plusieurs pays arabes reconnaître Israël en 2020.

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22:27 Israël   Le chef d'état-major demande une « enquête systémique » sur le 7-Octobre

Le chef d'état-major israélien a appelé lundi à une « enquête systémique » sur le 7-Octobre à l'heure où le gouvernement refuse l'établissement d'une commission nationale d'enquête permettant d'établir les responsabilités dans l'échec des autorités à prévenir l'attaque la plus meurtrière qu'ait connue Israël.

Le lieutenant-général Eyal Zamir a formulé cette demande après la publication du rapport d'un comité d'experts mandaté par ses soins marquant la fin des enquêtes au sein de l'armée sur les défaillances ayant mené au drame du 7 octobre 2023.

Ce rapport « marque une étape importante vers la compréhension globale dont nous avons besoin, en tant que société et en tant qu'organisation », a déclaré le général Zamir, selon un communiqué publié par l'armée, « cependant, pour garantir que de tels échecs ne se reproduisent jamais (...) une enquête systémique large et complète est désormais nécessaire ».

En dépit de sondages montrant qu'une large majorité d'Israéliens, quelles que soient leurs tendances politiques, soutiennent l'établissement d'une commission nationale d'enquête sur le 7-Octobre, le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu s'y oppose.

Selon la loi israélienne, la décision de créer une commission nationale d'enquête revient au gouvernement et il revient à la Cour suprême d'en nommer les membres.

Or le gouvernement Netanyahu formé en décembre 2022, l'un des plus à droite de l'histoire d'Israël, accuse cette institution d'être politiquement biaisée et acquise à la gauche.

L'affaiblissement des pouvoirs de la Cour suprême - présenté par l'exécutif comme un nécessaire rééquilibrage des pouvoirs - était au coeur du projet de réforme de la justice porté par le gouvernement qui a profondément divisé la société israélienne avant que n'éclate la guerre déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement palestinien Hamas, le 7 octobre 2023.

Sommé par l'opposition de s'exprimer sur la question, M. Netanyahu a redit lundi devant les députés qu'il était opposé à la mise en place d'une commission nationale d'enquête, qui serait selon lui un « outil politique » aux mains de ses adversaires.

Il a suggéré plutôt la création d'une commission d'enquête « avec un large accord national » sur le modèle de ce qu'ont fait les Etats-Unis après le 11-Septembre. Proposition immédiatement rejetée par l'opposition.

L'attaque du 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.221 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles.

Depuis lors, plus de 69.179 Palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza par la campagne militaire israélienne de représailles, majoritairement des civils, selon le ministère de la Santé de Gaza, placé sous l'autorité du Hamas. Le ministère, dont les chiffres sont jugés fiables par l'ONU, ne précise pas le nombre de combattants tués dans ce total.

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