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10:58 Liban-Sud   L'armée israélienne dit avoir frappé des cibles du Hezbollah

Un drone de l’armée israélienne a mené vendredi au moins une frappe sur les hauteurs situées entre Kfarchouba et Chebaa (caza de Hasbaya), une région revendiquée par le Liban, rapporte notre correspondant au Liban-Sud, Mountasser Abdallah. L’aviation israélienne a aussi lancé un raid sur les abords du village de Jbaa, dans l’Iqlim el-Touffah (Nabatiyé), dont les détonations ont été entendues jusqu’à Saïda. Elle a également mené d'autres frappes sur les abords de Baslayya (caza de Jezzine) et de Kfar Melki, dans l’Iqlim el-Touffah.

L’armée israélienne a par ailleurs revendiqué ces nouvelles frappes sur le Liban-Sud via un message publié vendredi sur le compte X de son porte-parole arabophone, Avichay Adraee, affirmant avoir bombardé des « infrastructures » du Hezbollah « dans plusieurs zones au Liban ». Elle précise que ces cibles incluent « un camp d’entraînement et de préparation utilisé par l’unité Radwane », « plusieurs dépôts d’armes et autres infrastructures », ainsi que « plusieurs bâtiments militaires », sans donner d’autres précisions sur leur nature ou leur localisation.

Par ailleurs, l'armée de l’air israélienne a mené vendredi six raids sur le jurd des localités de Brisa et Zeghrine, dans la région du Hermel, selon notre correspondante dans la Békaa, Sarah Abdallah.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, peu après 22 heures, l’artillerie israélienne a lancé des bombes éclairantes sur les environs de Kfarchouba, dans le caza de Hasbaya, accompagnées de tirs de mitrailleuses en provenance du site israélien de Roueissat el-Alam, rapporte notre correspondant.

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10:12 Réformes   Remboursement des dépôts : le Conseil des ministres poursuit l’examen du projet de loi

Le Conseil des ministres doit se réunir ce matin au Grand Sérail pour achever les débats sur les dispositions restantes du projet de loi controversé sur le « rétablissement de l’ordre financier » et la restitution des dépôts. Ce troisième rendez-vous fait suite à ceux, de lundi et de mardi, ce dernier ayant duré plus de neuf heures, au cours desquels huit articles sur seize ont déjà été passés au crible.

Parmi les principales orientations retenues jusqu'à présent figure le maintien des engagements de l’État envers la Banque du Liban (BDL) et la définition du déficit financier en collaboration avec celle-ci. Le montant minimum de remboursement aux déposants a été fixé à 1 500 dollars par mois.

Alors que le Premier ministre Nawaf Salam affiche sa volonté de faire adopter le texte sans laisser le débat s’éterniser, plusieurs ministres ont relevé un rapprochement entre ce dernier et le président Joseph Aoun, qu’ils attribuent à la position annoncée par les Forces libanaises, qui entendent voter contre le projet de loi.

Le gouvernement avait commencé lundi l’examen du projet, dans l’objectif d’adopter le texte avant la fin de l’année. Après plusieurs heures de discussion, les ministres s'étaient arrêtés à l’article 4 sur les 16 que comprend le projet. « Conforme aux exigences du FMI dans les grandes lignes », selon le Premier ministre Nawaf Salam, le texte prévoit de répartir les pertes entre l’État, la BDL, les banques commerciales et les épargnants, dont le nombre était estimé à près d'un million avant l'effondrement économique sans précédent de 2019. Selon le document, les petits dépôts inférieurs à 100 000 dollars seront remboursés à leur valeur réelle sur une période de quatre ans, par versements mensuels ou trimestriels, selon le choix du titulaire du compte.

Si le projet de loi est adopté aujourd'hui en Conseil des ministres, il sera transmis au Parlement.

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08:59 Venezuela   Libération de 99 personnes emprisonnées après la présidentielle

Au moins 99 personnes emprisonnées après la présidentielle vénézuélienne de 2024 contestée par l'opposition ont été libérées, ont annoncé vendredi les autorités du pays.

Elles avaient été arrêtées dans le contexte de la crise politique déclenchée par la réélection en juillet de l'année dernière, pour un troisième mandat, du président Nicolás Maduro, dans un scrutin entaché de fraudes selon ses opposants. « Le gouvernement national et le système judiciaire ont pris la décision d'évaluer chaque cas et d'accorder, conformément à la loi, des mesures conservatoires, qui ont permis la libération de 99 citoyens », a indiqué le ministère des Services pénitentiaires dans un communiqué.

Selon le gouvernement vénézuélien, ces personnes avaient été emprisonnées « pour leur participation aux actes de violence et d'incitation à la haine après les élections du 28 juillet 2024 ». Parmi les prisonniers libérées figure Marggie Orozco, médecin de 65 ans condamnée à 30 ans de prison pour « trahison de la patrie, incitation à la haine et conspiration » après avoir critiqué le dirigeant dans un message vocal, a indiqué à l'AFP l'ONG Justicia, Encuentro y Perdón.

La proclamation de la victoire de M. Maduro avait provoqué des manifestations qui avaient conduit à l'arrestation d'environ 2.400 personnes, qualifiées de « terroristes » par le chef de l'Etat lui-même, dont plus de 2.000 ont depuis été relâchées, selon les chiffres officiels. La plus récente vague de libérations a débuté le jour de Noël, selon le Comité pour la liberté des prisonniers politiques (Clippve), qui avait fait état de 60 prisonniers libérés. « Nous célébrons la libération de plus de 60 Vénézuéliens qui n'auraient jamais dû être détenus arbitrairement », a déclaré jeudi à l'AFP Andreína Baduel. « Mais ils ne sont pas totalement libres, nous continuerons à œuvrer pour leur liberté totale et celle de tous les prisonniers politiques », a-t-elle ajouté, précisant que ces personnes sont placées en liberté conditionnelle, avec l'obligation de se présenter régulièrement devant les tribunaux.

L'AFP a sollicité des précisions à ce sujet auprès du ministère public mais n'a pas encore reçu de réponse. Selon des membres de leurs familles, les personnes ainsi remises en liberté étaient incarcérées à la prison de haute sécurité de Tocorón, située dans l'Etat d'Aragua, à 134 kilomètres de Caracas.

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