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21.11.2024 à 09:53

Des frappes israéliennes font des dizaines de morts dans la bande de Gaza

FRANCE24

Déclenchée le 7 octobre 2023 après une attaque d'une ampleur inédite du Hamas sur le sol israélien, la guerre à Gaza s'est propagée au Liban, où le mouvement pro-iranien Hezbollah a ouvert un "front de soutien" au mouvement palestinien. Après des discussions à Beyrouth en vue d'obtenir une trêve entre l'armée israélienne et le Hezbollah, l'émissaire spécial du président américain, Amos Hochstein, est attendu jeudi en Israël, où il doit rencontrer le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à 12H30 (10H30 GMT). Jeudi, la Défense civile de la bande de Gaza a annoncé la mort de 22 personnes tuées dans la nuit par une frappe israélienne sur un quartier de Gaza-ville (nord). Une autre frappe survenue aux alentours de minuit (22H00 GMT) dans la zone de Beit Lahia et Jabalia (nord) a fait des dizaines de morts, selon des sources médicales. - "Arrêt total de l'agression" - La guerre dans le territoire palestinien a été déclenchée en riposte à l'attaque du Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, qui a entraîné la mort de 1.206 personnes, majoritairement des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur les données officielles, incluant les otages tués ou morts en captivité. Ce jour-là, 251 personnes ont été enlevées. Au total, 97 restent otages à Gaza, dont 34 déclarées mortes par l'armée. En représailles, l'armée israélienne a lancé une campagne de bombardements massifs suivie d'une offensive terrestre à Gaza, qui ont fait au moins 43.985 morts, en majorité des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU. Les Etats-Unis, alliés d'Israël, ont empêché mercredi le Conseil de sécurité de l'ONU d'appeler à un cessez-le-feu "immédiat, inconditionnel et permanent" à Gaza, malgré les appels internationaux demandant la fin du conflit qui a provoqué une situation humanitaire désastreuse dans le territoire. Au Liban, Israël et le Hezbollah sont entrés en guerre ouverte le 23 septembre après un an de tirs transfrontaliers, et l'armée israélienne mène des incursions dans le sud du pays depuis le 30 septembre. Israël dit vouloir éloigner le Hezbollah des régions frontalières du sud du Liban pour permettre le retour des quelque 60.000 habitants du nord d'Israël déplacés par les tirs du mouvement. Au Liban, des dizaines de milliers d'habitants ont également été déplacés. L'ambassadrice américaine à Beyrouth, Lisa Johnson, avait présenté jeudi dernier au Premier ministre libanais, Najib Mikati, et au chef du Parlement, Nabih Berri, un plan en 13 points prévoyant une trêve de 60 jours et le déploiement de l'armée dans le sud du Liban. Dans ce contexte, l'émissaire Amos Hochstein s'est rendu mardi à Beyrouth où il a déclaré qu'une solution était "à portée de main" mais que c'était aux belligérants de "décider". Israël "ne peut pas nous imposer ses conditions", a prévenu mercredi le chef du Hezbollah, Naïm Qassem, dans un discours pré-enregistré, ajoutant qu'il exigeait "l'arrêt total de l'agression" au Liban. Selon des médias israéliens, M. Hochstein a atterri en Israël mercredi soir et s'est entretenu avec Ron Dermer, ministre des Affaires stratégiques et homme de confiance du Premier ministre israélien. M. Netanyahu, avait averti lundi que Israël "mènera(it) des opérations" militaires contre le Hezbollah même en cas de trêve. "Guerre destructrice" Pendant ce temps, les bombardements israéliens se poursuivent au Liban sur des bastions du Hezbollah. L'Agence nationale d'information libanaise (Ani) a fait état jeudi de trois frappes à Haret Hreik, un quartier de la banlieue sud de Beyrouth, "causant la destruction de plusieurs bâtiments". D'après la même source, d'autres frappes ont visé au cours de la nuit plusieurs secteurs du sud du pays, notamment l'importante bourgade de Khiam, située à environ six kilomètres de la frontière, où des affrontements entre le Hezbollah et les forces israéliennes avaient éclaté la veille. Jeudi matin, le porte-parole de l'armée en langue arabe, Avichay Adraee, a lancé des appels à évacuer aux habitants de trois zones proches de la ville de Tyr (sud). "Notre nation souffre d'une guerre destructrice et barbare menée par l'ennemi israélien", a déclaré jeudi le commandant en chef de l'armée libanaise, le général Joseph Aoun, à la veille du 81e anniversaire de l'indépendance du pays. "Les efforts pour parvenir à un cessez-le-feu s'intensifient", a assuré le général.

21.11.2024 à 09:47

Angela Merkel décrit dans ses mémoires un Trump "fasciné" par les autocrates

FRANCE24

Lors de leur première rencontre à Washington en mars 2017, peu après l'installation de Donald Trump pour son premier mandat à la Maison Blanche, le président américain "me posa une série de questions, notamment sur mes origines est-allemandes et mes relations avec Vladimir Poutine, qui semblait le fasciner", raconte Angela Merkel dans les extraits publiés par l'hebdomadaire Die Zeit. "Dans les années suivantes, j'eus l'impression que les dirigeants aux tendances autocratiques et dictatoriales exerçaient une certaine fascination sur lui", poursuit-elle dans son livre intitulé "Freiheit" ("Liberté") qui paraîtra le 26 novembre dans une trentaine de pays. Dans cet ouvrage, Angela Merkel, qui a dirigé l'Allemagne entre 2005 et 2021, partage ses réflexions sur sa carrière politique, ses principes et sa vision des défis rencontrés au cours de son mandat. Elle revient notamment sur sa première entrevue avec Trump au printemps 2017 qui ne lui laissera "pas un bon pressentiment", confie-t-elle. Avant leur entretien en tête-à-tête dans le Bureau ovale, il ignora la demande des journalistes et photographes d’une nouvelle poignée de main, malgré les murmures de la chancelière suggérant de renouveler l'exercice effectué devant l'entrée de la Maison Blanche. Lors de leur entretien, il reprit ses critiques "habituelles" envers l'Allemagne, qu'il accusait d'être ruinée par l'accueil des réfugiés en 2015 et 2016, d’être pingre sur les dépenses militaires et d'adopter des pratiques commerciales déloyales. Il voyait notamment la forte présence de voitures allemandes à New York comme "une épine dans le pied". Merkel répondit en s’appuyant sur des faits, mais se heurta à un président américain évoluant "sur un mode émotionnel", qui n’écoutait ses arguments que pour "les transformer en nouvelles critiques". "Résoudre les problèmes ne semblait pas être son objectif", observe-t-elle. En quittant Washington, la chancelière conclut qu'une "coopération pour un monde interconnecté ne serait pas possible avec Trump", convaincu que sa réussite dépendait "de l'échec des autres". En juin 2017, Trump annonça à Merkel au téléphone que les États-Unis se retireraient de l'accord de Paris sur le climat. "Cette décision, qui allait à l'encontre de mes efforts pour faire du climat un sujet central du G20, fut un coup dur", admet Angela Merkel.

21.11.2024 à 09:19

Basket/Euroligue: après l'éviction d'Obradovic, les chantiers de Monaco

FRANCE24

. Retrouver du caractère Après la défaite dimanche à domicile face au Mans (86-74) qui a scellé son sort, Obradovic a pesté sur le manque d'implication défensive de son équipe, matérialisé par ces 47 rebonds laissés au MSB. Ce n'était pas une première à Gaston-Médecin: il avait évoqué pour "la première fois de sa carrière, sa honte comme entraîneur" après la défaite le 12 novembre contre l'Étoile Rouge Belgrade (98-90). "Son départ est censé nous faire un électrochoc. Je pense que ça l'a fait. On verra si on affiche un autre visage", a expliqué Matthew Strazel, meneur d'une équipe qui avait en partie bâti ses succès passés sur son état d'esprit et sa défense. Mais le départ de Yakuba Ouattara et John Brown III cet été se font encore ressentir. "Notre objectif immédiat est de montrer une mentalité de combat sur le terrain et tout donner", a insisté pour sa part le directeur général, Oleksiy Yefimov, dans un échange avec différents médias, dont l'AFP. . Retrouver un collectif impliqué Loin d'être soudé, le collectif monégasque compte d'importants blessés, dont Nick Calathes. Touché à un genou, l'une des recrues phares de l'intersaison devait revenir fin octobre mais il est encore loin de retrouver les terrain et est même reparti se soigner en Grèce. Autre grand nom arrivé cet été, le Turc Furkan Korkmaz, 27 ans, est hors de forme et encore blessé après sept ans passé aux Sixers de Philadelphie. Son bilan: 14 minutes contre Milan, cinq à Istanbul. Soit pire que Kemba Walker qui, l'an passé, avait disputé sept des dix premières journées (11 minutes/match). "Soyons honnêtes, nous partageons tous la responsabilité, reconnaît d'ailleurs Yefimov. Qu'il s'agisse de la direction, moi en premier, ou des joueurs. Sasa n'est pas le seul à blâmer." Yefimov attend désormais "une volonté de sacrifice, un soutien des coéquipiers, un meilleur langage corporel et une réelle détermination" des "qualités non négociables". Message entendu par Strazel: "Il faut changer l'attitude, l'approche des matches, notre état d'esprit, précise-t-il. Au moins donner de l'énergie, montrer qu'on se bat." . Trouver l'entraîneur qui convient En limogeant Obradovic, le président Aleksej Fedoricsev, par ailleurs enlisé dans des affaires judiciaires en Ukraine et en Italie, a pris un risque. Mais pour Yefimov, c'était "le seul moyen de faire bouger les choses et de reconstruire les habitudes nécessaires pour rivaliser avec l'élite". Pour lui, "la cohérence et la stabilité ont été au cœur de l'identité" monégasque avec Obradovic, mais "ce n'était plus le cas". "Nous avons pris des habitudes inquiétantes sans avoir le rythme d'un prétendant au titre. Cette incohérence a rendu la décision inévitable", soutient Yefimov. Même si Manuchar Markoishvili, 38 ans, est un intérimaire ambitieux, Yefimov doit désormais trouver un homme capable de conquérir l'Europe et de séduire Mike James, sous contrat jusqu'en 2027. "À long terme, notre objectif est de recruter un stratège doté de l'état d'esprit et de la vision nécessaires pour mener l'équipe au sommet", indique Yefimov, "aux premiers stades des discussions avec les candidats potentiels". Parmi eux, se trouve Vassilis Spanoulis. A 42 ans, le sélectionneur de la Grèce sort de deux saisons réussies au Peristeri Athènes. Retiré des parquets depuis 2021, il connaît parfaitement Calathes et Georgios Papagiannis (autre Grec recruté cet été) et a le respect de James. Les noms de l'Italien Sergio Scariolo (ex-coach de l'Espagne et de la Virtus Bologne), et de l'Espagnol Xavier Pascual, en poste au Zenit St-Petersbourg et qui a coaché James au Panathinaïkos, sont également cités.
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