Proposée à la vente de la prestigieuse maison la semaine prochaine, une nature morte signée Valadon, issue d’un vol cet été à Paris, a finalement été retirée jeudi 21 novembre du catalogue.
Le romancier a animé un atelier d’écriture dans la prison parisienne. «On est le mauvais garçon qu’on peut» est une plongée dans ce monde à part, avec des pas de côté, comme lorsque l’auteur introduit en fraude des kebabs, félicité par un détenu : «Nico, t’es un bon.»
Inexorablement, la frénésie du téléphone portable tue la fête au point que de plus en plus d’événements multiplient les initiatives afin de limiter leur utilisation.