La diffusion de cette pathologie potentiellement mortelle chez les ruminants, surnommée «maladie de la langue bleue», a progressé de manière exponentielle ces dernières semaines, notamment dans l’ouest de la France.
L’entreprise qui produit cet herbicide faisant l’objet de nombreuses controverses et démêlés judiciaires se prépare à être à nouveau traînée en justice.
Dans un rapport rendu public ce vendredi 1er août, consulté par «Libération», l’Observatoire des pratiques policières de Toulouse accuse la préfecture du Tarn et le ministre de l’Intérieur d’avoir «menti à la presse et à la société civile».