Cette énergie mise à ranimer la mémoire des Jeux de Paris traduit les difficultés traversées depuis un an à investir sur le sport, encore considéré comme quantité négligeable.
La révélation de liens, en 2012, entre un soigneur d’Ineos (ex-Sky) et un médecin accusé de dopage rappelle qu’en cyclisme rien n’est jamais définitivement écrit.
Alors que les avis des institutions internationales se multiplient sur fond d’instabilité mondiale, celles-ci peinent à se faire respecter, à l’image du retrait des Etats-Unis de l’Unesco, relève l’avocat Vincent Brengarth.