En dépit d’une mobilisation accrue sur les fermetures d’usines, qui réunissent les différents partis, la gauche, divisée sur les questions liées au travail, peine à reprendre du terrain face au RN, désormais implanté dans l’électorat ouvrier.
Le mouvement s’indigne d’une absence de réaction de l’exécutif alors que plusieurs de ses permanences parlementaires ont été ciblées par des agriculteurs, sur fond de succès de la pétition anti-loi Duplomb.
L’ancien préfet de la Réunion s’en va «pour des raisons strictement personnelles», selon une source proche du dossier. Plusieurs observateurs voient en ce départ des tensions avec Bruno Retailleau.