Si l’étude publiée le 11 novembre affirme que l’artéfact, par son bruit strident, servait à inspirer la peur chez les victimes sacrifiées, d’autres spécialistes de la culture aztèque penchent plutôt sur une imitation du bruit du vent, en l’honneur d’une de leurs divinités. «Libération» fait le point.