Le président russe a signé, ce mercredi 6 août, un décret fixant un objectif climatique a priori ambitieux, mais qui permet en réalité à la Russie, quatrième émetteur mondial, de polluer encore plus.
Le camp présidentiel réfléchit à changer une quatrième fois de nom en moins de dix ans. Une stratégie utilisée par le monde politique hexagonal pour des raisons pratiques, stratégiques ou symboliques.