La « paix durable » vantée par Donald Trump tient toujours à un fil. Au sein du plan de la Maison-Blanche, on trouve la création d’une administration provisoire pour Gaza dirigée par Tony Blair, ancien premier ministre britannique. Après sa mandature, celui-ci a officié au sein du think-tank « Tony Blair Institute », à mi-chemin entre réseau d'influence et groupe affairiste. Son plan possède une affinité troublante avec le plan dit de « Riviera au Moyen-Orient » proposé en février dernier par Donald Trump. S'il prévoit de mettre les Gazaouis sous tutelle, il donne de nombreux motifs de satisfaction au pouvoir israélien, qui n'a pas renoncé à coloniser l'enclave.
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La « paix durable » vantée par Donald Trump tient toujours à un fil. Au sein du plan de la Maison-Blanche, on trouve la création d’une administration provisoire pour Gaza dirigée par Tony Blair, ancien premier ministre britannique. Après sa mandature, celui-ci a officié au sein du think-tank « Tony Blair Institute », à mi-chemin entre réseau d'influence et groupe affairiste. Son plan possède une affinité troublante avec le plan dit de « Riviera au Moyen-Orient » proposé en février dernier par Donald Trump. S'il prévoit de mettre les Gazaouis sous tutelle, il donne de nombreux motifs de satisfaction au pouvoir israélien, qui n'a pas renoncé à coloniser l'enclave.