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Humans Right Watch enquête sur les violations des droits humains commises à travers le monde

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23.07.2025 à 20:00

Les plaintes désespérées de Palestiniens affamés ne doivent pas être ignorées

Human Rights Watch

Click to expand Image Une mère palestinienne était agenouillée devant sa fille âgée de six ans, souffrant visiblement de malnutrition, dans un refuge situé dans la ville de Gaza, le 11 mai 2025.  © 2025 Majdi Fathi/NurPhoto via AP Photo

L'été dernier, mon fils, alors âgé de deux mois, est tombé malade alors que nous visitions des proches en Californie. Sous nos yeux, il a rapidement maigri ; son poids a chuté en dessous du niveau enregistré peu après sa naissance, provoquant dans son corps un état de choc. Par la suite, les médecins nous ont dit qu'il avait failli mourir durant cette période.

Je n'oublierai jamais ce que j'ai ressenti en voyant ses os saillir, en l'entendant pleurer sans pouvoir le calmer, et en regardant son triste visage qu’aucun sourire n’éclairait, pendant plusieurs jours d’affilée.

Ceci est proche de la réalité quotidienne à laquelle sont confrontés les parents à Gaza, mais dans des circonstances bien plus dramatiques.

Le ministère de la Santé de Gaza a signalé qu'entre le 19 et le 22 juillet, 33 personnes sont mortes de malnutrition. Déjà en mai dernier, les experts du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (Integrated Food Security Phase Classification, IPC), avaient averti que la population de Gaza était confrontée à « des niveaux élevés d'insécurité alimentaire aiguë », avec un « risque critique de famine ». Depuis, la situation s’est encore détériorée ; le 16 juillet, une agence des Nations Unies a signalé que le taux de famine chez les enfants de Gaza avait atteint son « plus haut niveau » en juin.

La pénurie alimentaire à laquelle sont confrontés les Palestiniens à Gaza, et qui a probablement déjà fait des milliers de morts, est une crise entièrement imputable à des décisions humaines. Elle résulte de la politique délibérée d'Israël consistant à utiliser la famine comme arme de guerre, un crime de guerre que Human Rights Watch a documenté pour la première fois en décembre 2023. Des mois de recherche sur les restrictions imposées par Israël à l'aide humanitaires et aux services de base nous ont conduits à la conclusion inéluctable que les autorités israéliennes imposent délibérément des conditions de vie destinées à entraîner la destruction physique des Palestiniens de Gaza, entièrement ou en partie, ce qui constitue le crime contre l'humanité d'extermination et des actes de génocide.

Après 16 jours passés dans un hôpital moderne en Californie, mon fils s'est finalement rétabli. Mais à Gaza, en raison des attaques systématiques d'Israël contre les infrastructures sanitaires et de son blocus illégal qui dure depuis des années, les enfants n'ont pas accès à des soins de santé de même qualité.

Le 21 juillet, 28 pays ont conjointement appelé le gouvernement israélien à « lever immédiatement les restrictions qu’il impose à l’acheminement de l’aide humanitaire ». Mais il faut plus que des mots : les États devraient employer divers moyens de pression – notamment un embargo sur les ventes d’armes à Israël, des sanctions ciblées contre des responsables israéliens et la suspension d’accords commerciaux préférentiels avec Israël – pour empêcher une situation de famine massive. Plus de 1 000 organisations palestiniennes et internationales ont appelé à la mise en place d’un « convoi humanitaire diplomatique », parmi d’autres moyens d’acheminer l’aide à Gaza.

Imaginez voir vos enfants pleurer de manière inconsolable, le ventre vide, et que vous ne puissiez rien faire. C’est le genre de sentiment exprimé dans les appels à l'aide désespérés émanant de Gaza. L’Histoire jugera tous les gouvernements selon la manière dont ils y répondront.

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X / Vidéo AFP https://x.com/hrw_fr/status/1948144921065467938

23.07.2025 à 06:00

Niger : L'ex-président détenu arbitrairement depuis 2 ans

Human Rights Watch

Click to expand Image L'ancien président nigérien Mohamed Bazoum à l'Elysée à Paris, le 16 février 2023. © 2023 Michel Euler/AP Photo

(Nairobi) – Les autorités nigériennes devraient immédiatement libérer l'ancien président Mohamed Bazoum, qui est toujours détenu arbitrairement, deux ans après avoir été renversé lors d'un coup d'État militaire, a déclaré Human Rights Watch aujourd'hui.

Le 26 juillet 2023, des officiers de l'armée nigérienne du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) autoproclamé, dirigé par le général de brigade Abdourahamane Tiani, ont renversé le gouvernement de Mohamed Bazoum et l'ont arrêté, ainsi que son épouse, Hadiza Bazoum. Le couple est toujours détenu au palais présidentiel à Niamey, la capitale du pays, sans accès aux membres de leur famille ni à des avocats. Mohamed Bazoum doit également faire face à un procès imminent après que la junte a levé son immunité présidentielle en 2024.

« La junte militaire du Niger affiche son mépris pour l'État de droit chaque jour qu'elle maintient l'ancien président Mohamed Bazoum et son épouse en détention », a déclaré Ilaria Allegrozzi, chercheuse senior sur le Sahel à Human Rights Watch. « Sa détention et les poursuites contre lui, motivées par des considérations politiques, discréditent toute prétention de la junte à un Niger plus démocratique. »

En août 2023, la junte a annoncé son intention de poursuivre Mohamed Bazoum pour « haute trahison » et « atteinte à la sûreté intérieure et extérieure du Niger », mais ne l'a toujours pas présenté à un juge pour des audiences préliminaires.

En septembre, Mohamed Bazoum a déposé une requête auprès de la Cour de justice de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), invoquant des violations des droits humains à son encontre et à l’encontre de sa famille au cours de sa détention. En décembre, la Cour de justice de la CEDEAO a statué que Mohamed Bazoum était détenu arbitrairement et a exigé sa libération. En janvier 2025, le Niger, le Mali et le Burkina Faso se sont officiellement retirés de la CEDEAO.

En avril 2024, les autorités ont engagé une procédure judiciaire contre Mohamed Bazoum afin de lever son immunité présidentielle et de pouvoir le poursuivre pour des crimes qu’il aurait commis lors de sa présidence. En juin, la Cour d’État du Niger s'est prononcée contre lui à l'issue d'une procédure qui n'a pas respecté les normes internationales de procédure régulière et d’un procès équitable. L'immunité de Mohamed Bazoum ayant été levée, la junte a annoncé son intention de le poursuivre pour haute trahison. La date du procès n'a pas été fixée.

En février 2025, le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire, un organe d'experts indépendant qui enquête sur les cas de privation de liberté, a estimé que la détention de Mohamed Bazoum et de son épouse était arbitraire et constituait une violation du droit international relatif aux droits humains, et a demandé leur libération immédiate.

« Mohamed Bazoum est enfermé de manière cruelle et illégale depuis deux ans, sans inculpation ni procès, sans pouvoir parler à ses enfants, à ses soutiens, ni même à ses avocats », a déclaré Reed Brody, qui appartient au collectif des avocats qui défendent Mohamed Bazoum. « Malgré les décisions claires de tribunaux internationaux et d'organes de l'ONU exigeant sa libération, Mohamed Bazoum reste l'otage d'une junte militaire. »

Les abus contre Mohamed Bazoum reflètent les pratiques d'une junte militaire qui a réprimé l'opposition politique, la dissidence pacifique et les médias, et qui semble avoir l'intention de consolider son pouvoir, y compris en retardant la transition vers un régime civil ainsi que la tenue d’élections crédibles, libres et équitables, a déclaré Human Rights Watch.

« Chaque jour que Mohamed Bazoum passe en détention écarte un peu plus le Niger de la voie vers la démocratie », a conclu Ilaria Allegrozzi. « Les autorités nigériennes devraient réévaluer le genre de message que le maintien de Mohamed Bazoum en détention depuis deux ans envoie dans la région et dans le monde. »

22.07.2025 à 18:40

Syrie : Crise humanitaire à Soueïda, liée aux combats et aux exactions

Human Rights Watch

Click to expand Image Des membres des forces de sécurité syriennes surveillaient les environs à Busra al-Harir, dans la province de Deraa qui jouxte la province de Soueïda dans le sud de la Syrie, le 21 juillet 2025.  © 2025 Omar Haj Kadour / AFP

(Beyrouth, le 22 juillet 2025) – Neuf jours d'affrontements dans le gouvernorat de Soueïda, dans le sud de la Syrie, accompagnés de graves exactions, y ont déclenché une grave crise humanitaire, a déclaré Human Rights Watch aujourd'hui. Les combats qui ont opposé des groupes armés locaux dirigés par des Druzes à des milices de Bédouins ont été exacerbés par la manière dont le gouvernement syrien est intervenu, ainsi que par des frappes aériennes menées par Israël. Ceci a provoqué des perturbations généralisées de l'approvisionnement en électricité, en eau et en soins de santé, a attisé les discours de haine sectaire, et a accru le risque de représailles contre les communautés druzes ailleurs en Syrie.

Les récents affrontements ont débuté le 12 juillet, avec de violents combats entre d’une part des milices druzes loyales envers le cheikh Hikmat al-Hijri, chef spirituel de la communauté druze de Soueïda, et d’autre part des combattants bédouins fidèles au gouvernement syrien. Le 14 juillet, face à la propagation des violences dans la région, le gouvernement y a déployé des forces sous l’autorité des ministères de l'Intérieur et de la Défense, et a proclamé un couvre-feu dans la ville de Soueïda (capitale provinciale). Les autorités ont affirmé que ce déploiement visait à rétablir l'ordre, mais des habitants ont signalé des pillages, des incendies de maisons, des exactions perpétrées selon des critères sectaires et des exécutions sommaires, y compris de femmes et d'enfants. Des groupes armés bédouins et des milices druzes auraient également commis de graves exactions.

« Alors que des communautés de Soueïda ont été déplacées et manquent de nourriture, d'eau et de soins de santé, l'insécurité, les obstacles politiques et une profonde méfiance freinent l'acheminement de l'aide humanitaire », a déclaré Adam Coogle, directeur adjoint de la division Moyen-Orient et Afrique du Nord à Human Rights Watch. « Quelles que soient les forces qui contrôlent les divers territoires, elles devraient autoriser l’entrée immédiate d'aide humanitaire, sans interférence. »

Les Nations Unies ont signalé que depuis le 12 juillet, au moins 93 400 personnes ont été déplacées, la plupart dans le gouvernorat de Soueïda. Les dégâts causés par les combats terrestres et les frappes aériennes israéliennes ont paralysé les réseaux d'électricité, d'eau et de télécommunications dans une grande partie de la ville de Soueïda. La plupart des hôpitaux sont hors service en raison des dégâts matériels, du manque de personnel, des barrages routiers et des ruptures d'approvisionnement en carburant. De nombreuses familles déplacées manquent de nourriture, d'eau potable et de soins médicaux, ce qui accroît les risques pour la santé publique, y compris en raison de corps non enterrés gisant dans des zones résidentielles.

Le premier convoi d'aide humanitaire limité, organisé par le Croissant-Rouge arabe syrien (CARS, ou en anglais Syrian Red Arab Crescent, SARC), est entré à Soueïda le 20 juillet. Un porte-parole du ministère de la Santé a déclaré que Cheikh al-Hijri avait refusé l'entrée à la délégation gouvernementale qui accompagnait le convoi. Un travailleur humanitaire a indiqué que, le 21 juillet, le ministère des Affaires étrangères avait autorisé le CRAS à acheminer l'aide de manière autonome, un deuxième convoi étant attendu dès le 22 juillet.

« Nous sommes privés d'eau depuis neuf jours et d'électricité depuis le début des combats », a déclaré un habitant de Soueïda. « Toute notre nourriture est avariée, nous avons dû la jeter. Nous nous douchons dans notre propre sueur. J'ai gratté la moisissure d'une brique de yaourt et je l'ai donnée à mes enfants. Ce dont nous avons le plus besoin maintenant, c'est d'eau et d'électricité. »

Des témoins ont décrit les conditions de vie à l'hôpital national de Soueïda comme catastrophiques. Un habitant a déclaré que l'hôpital était débordé, sans accès aux équipements médicaux de base ni à l'électricité pour soigner correctement les blessés. « Mon cousin a été blessé par des éclats d'obus au coude et à l'abdomen et nécessite une intervention chirurgicale urgente », a-t-il déclaré. « Cependant, l'hôpital manque à la fois de l'équipement et des fournitures médicales nécessaires pour réaliser l'opération. »

Un journaliste local a déclaré avoir vu de nombreux corps à l'hôpital et à la morgue, dont des enfants et des familles entières. Un militant local a partagé des vidéos montrant ce qui semblait être plusieurs corps, dont ceux d'un jeune garçon et d'une adolescente de 14 ans, leurs noms étant collés sur leurs fronts. En l'absence de personnel médical, des groupes armés et des civils ont transporté les morts et les blessés dans des véhicules privés, tandis que des bénévoles ont recensé les décès.

Le journaliste a partagé avec Human Rights Watch une vidéo montrant des pages d'un registre des décès d'un hôpital, répertoriant les noms, les âges, les dates d'arrivée et les causes de décès. Human Rights Watch a recensé 306 noms, la plupart arrivés le 16 ou le 17 juillet, dont au moins 23 enfants. La plupart des décès ont été attribués à des blessures par balle – certaines à la tête – et d’autres à des blessures par éclats. Il a ajouté que de nombreux autres corps n’étaient toujours pas enregistrés, notamment ceux qui se trouvaient encore à l’hôpital ou qui étaient transportés vers des structures privées ou rurales.

Le 20 juillet, le CRAS a signalé des agressions contre ses bénévoles locaux, l’incendie d’un entrepôt et des tirs contre une ambulance. La Défense civile syrienne a indiqué que le 16 juillet, des hommes armés avaient arrêté un secouriste, Hamza al-Amareen, alors qu’il répondait à un appel à l’aide de l’ONU. De tels actes mettent en danger les travailleurs humanitaires et entravent les opérations de secours, a déclaré Human Rights Watch.

Des sources bien informées ont indiqué que ces derniers jours, le ministère syrien des Affaires étrangères avait interdit aux agences de l’ONU et aux organisations humanitaires internationales d’entrer à Soueïda, invoquant des préoccupations sécuritaires. Une circulaire ministérielle du 20 juillet, consultée par Human Rights Watch, enjoignait aux organisations internationales et aux délégations diplomatiques de ne pas se rendre dans la zone sans autorisation préalable. L'accès des journalistes internationaux aurait également été restreint.

Toutes les parties au conflit, notamment les forces gouvernementales syriennes et les groupes armés contrôlant le gouvernorat de Soueïda, devraient immédiatement faciliter le passage en toute sécurité des convois d'aide et permettre aux ingénieurs de rétablir les services essentiels, a déclaré Human Rights Watch.

Les travailleurs humanitaires et les biens utilisés pour les opérations humanitaires doivent être respectés et protégés. Les attaques contre les civils et les biens civils, y compris les infrastructures civiles, sont interdites. Les efforts humanitaires doivent rester indépendants et exempts de toute ingérence indue, compte tenu notamment de la profonde méfiance entre les communautés locales et le gouvernement central. Les autorités syriennes devraient également accorder aux observateurs indépendants un accès complet aux zones touchées.

Le 16 juillet, la présidence syrienne a condamné les violations commises contre les habitants de Soueïda et s'est engagée à assurer la reddition de comptes. La police militaire a ensuite annoncé l'arrestation d'un soldat pour « violation des codes de conduite ».

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a déclaré que les attaques israéliennes contre Damas et Soueïda le 16 juillet visaient à défendre les Druzes et à imposer une zone démilitarisée dans le sud de la Syrie. Les frappes aériennes en cours ont alimenté une hostilité généralisée contre la communauté druze dans son ensemble, même si de nombreux hauts dirigeants et personnalités druzes ont publiquement rejeté toute intervention militaire étrangère et appelé à une solution pacifique négociée au niveau national.

Le 16 juillet, les États-Unis ont négocié un cessez-le-feu en vertu duquel les forces gouvernementales syriennes se sont retirées de Soueïda, rétrocédant la gouvernance locale et la sécurité aux structures dirigées par les Druzes sous l'autorité de Cheikh al-Hijri, rétablissant ainsi l'autonomie informelle du gouvernorat.

L'accord ne comportait aucune disposition relative à la protection des civils, à l'accès à l'aide humanitaire ou à la responsabilisation. Il n'abordait pas non plus les déplacements massifs, l'effondrement des services publics ni la menace croissante de représailles sectaires. Les représentants bédouins n'étaient pas impliqués dans les négociations.

Après le cessez-le-feu, des milliers de combattants bédouins venus de toute la Syrie se sont mobilisés vers Soueïda, après que les médias d'État ont rapporté des attaques de représailles menées par les combattants d'al-Hijri contre des civils bédouins. Les autorités ne semblent avoir rien fait pour empêcher leur mobilisation.

Dans le cadre des des affrontements, les menaces sectaires contre les Druzes se sont multipliées en ligne en Syrie : appels au boycott des entreprises druzes et au licenciement des travailleurs druzes, menaces d'expulsion des Druzes de Damas, et allégations selon lesquelles la communauté tout entière serait complice des actions des combattants d'al-Hijri et soutiendrait l'intervention israélienne.

Dans un discours prononcé le 19 juillet, le président syrien Ahmed al-Sharaa a qualifié les combattants druzes de « groupes hors-la-loi », et a salué la mobilisation nationale de combattants bédouins qui étaient prêts à se diriger vers Soueïda ; ceci a suscité des inquiétudes quant au risque d’encourager des représailles non étatiques, au lieu de promouvoir des mesures sécuritaires légales et garanties par l’État.

Le 21 juillet, un calme relatif est revenu à Soueïda grâce à un nouveau cessez-le-feu. Les autorités ont annoncé le retrait des combattants bédouins de la ville et les forces de sécurité intérieure ont pris le contrôle des axes routiers clés. Les familles bédouines de la ville ont été évacuées. Si les autorités ont affirmé que ce relogement était temporaire, des inquiétudes subsistent quant à la possibilité que ces familles ne puissent pas rentrer en toute sécurité sans garanties claires. Les habitants continuent de signaler des maisons détruites, un nombre croissant de victimes et l'effondrement des services.

« Le gouvernement syrien permet à des groupes armés d’opérer en dehors de son commandement ; ceci aggrave les conditions d’anarchie, alors que la Syrie a besoin de forces de sécurité professionnelles et responsables qui représentent et protègent toutes les communautés, sans discrimination », a déclaré Adam Coogle. « La désescalade des violences doit aller de pair avec la protection des civils, la garantie de retours en toute sécurité, le rétablissement des services et le rétablissement d’un climat de confiance. »

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