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25.07.2025 à 19:17

Tour de France: Pogacar, vivement la fin

FRANCE24

Grosse fatigue ou simple ennui ? Le champion du monde a fait preuve d'une grande lassitude au sommet de la station de ski de la Tarentaise, lavée par une pluie discontinue qui a fini par martyriser un peloton déjà exténué. Tout le monde était persuadé que le Slovène, frustré d'avoir loupé le coche sur le Mont Ventoux et le Col de la Loze, allait vouloir remporter cette dernière étape de montagne raccourcie en raison d'une épidémie touchant des bovins dans le col des Saisies. Ces derniers jours, il avait dû répondre aux offensives des Visma de Jonas Vingegaard et s'était contenté de défendre son maillot jaune. Mais vendredi, son rival danois n'a pas bougé une oreille, signant son acte de capitulation à deux jours de l'arrivée finale à Paris, persuadé qu'il n'avait plus aucune chance de boucher les plus de quatre minutes d'écart au général. La voie était donc libre pour un "Pogishow". Sauf que la détonation n'a jamais eu lieu et Thymen Arensman a su en profiter pour signer sa deuxième victoire d'étape après celle à Superbagnères en résistant avec bravoure au retour des favoris avant de s'écraser dans les barrières. "Je suis totalement détruit. J'ai l'impression de rêver, je ne sais pas ce que je viens de faire", a réagi le Néerlandais de l'équipe Ineos qui, après être sorti à 14 km de l'arrivée, a réussi à conserver deux secondes d'avance sur Vingegaard et Pogacar. "Presque des extraterrestres" "Tout le monde sait que ce sont les meilleurs du monde, presque des extraterrestres et moi je suis seulement un humain. Mais je viens de les battre, c'est juste fou", a ajouté Arensman qui sortira comme l'un des grands bonhommes de ce Tour. Mais aurait-il gagné l'étape si Pogacar s'était vraiment employé ? Interrogé sur ce point précis en conférence de presse, le Slovène, arrivé avec une épaisse doudoune noire et un gros bonnet sur la tête, a répondu: "je ne sais pas, je comptais les kilomètres à la fin. Arensman marchait fort, chapeau à lui. Moi j'imprimais un rythme défensif où j'étais à l'aise et qui me permettait de répondre à une attaque éventuelle", qui n'est jamais venue. Il s'est ainsi contenté de deux petites accélérations avant de demander plusieurs fois à Vingegaard, collé à sa roue, de le relayer. En vain. "J'ai fait toute la montée devant. Alors oui je suis assez fatigué. Encore deux jours", a ajouté "Pogi" qui n'avait pas l'air super heureux en franchissant la ligne où il a en plus été bousculé par un agent de sécurité. Cette fois il n'a d'ailleurs même pas disputé le sprint à Vingegaard pour la deuxième place, laissant au Danois son petit plaisir du jour. Relancé pour savoir si ce n'était pas tout simplement de l'ennui, Pogacar a rappelé que le protocole lui pesait et que c'était "difficile de rester concentré et motivé chaque jour". "Le combat est fini", concède Vingegaard Le champion du monde, qui se régale dans les classiques, semble goûter de moins au moins aux marathons des grands Tours. "Depuis le premier jour, j'ai été harcelé par des attaques à gauche, à droite", a-t-il ajouté après avoir aussi attrapé un rhume dans les Pyrénées. Heureusement pour lui, le plus dur est passé, et, sauf accident ou énorme coup de théâtre les deux dernières étapes ne devraient plus bouleverser le général. "Le combat est fini. Tadej a été extrêmement fort et mérite sa victoire. Je l'accepte", a fini par concéder Vingegaard samedi soir. La lutte pour la troisième place semble également s'être jouée vendredi et c'est Florian Lipowitz qui tient le bon bout. Quatrième de l'étape, l'Allemand a réussi à s'accrocher aux "extraterrestres" alors qu'Oscar Onley a craqué dans le dernier kilomètre. Le Français Kévin Vauquelin a conservé sa septième place au général après avoir "géré (s)a montée" pour "limiter la casse". Dépassé par Tobias Johannessen, il a profité du craquage complet de Primoz Roglic qui était parti dans l'échappée et était seul en tête dans la vallée précédant la montée finale avant d'exploser. Pour Vauquelin, ce Top 10 qui se dessine est une franche réussite, même s'il ne voulait pas se réjouir trop tôt. "Tant qu'on a pas passé la ligne à Paris je n'ai pas fini le Tour." Lui aussi a hâte que ça se termine.

25.07.2025 à 19:15

F1: Piastri domine largement la première journée en Belgique

FRANCE24

Déçu de l'issue des dernières courses, le leader du championnat du monde s'est ressaisi sur le spectaculaire circuit de Spa-Francorchamps où il a survolé ses adversaires vendredi. "C'était un très bon tour. Je me suis fait peur en Q2 après l'annulation d'un de mes chronos mais finalement ça se finit bien. C'est un de mes circuits préférés, j'adore piloter ici et l'équipe a fait un super boulot. Lors des dernières courses le rythme était là, mais pas les résultats donc c'est bon pour la confiance", a déclaré le natif de Melbourne. Quelques minutes plus tôt, Piastri avait en effet frôlé l'élimination en Q2 en prenant la 10e et dernière place qualificative pour la Q3 après que son chrono le plus rapide a été supprimé car il était sorti en dehors des limites de la piste. Visiblement, rien ne pouvait arriver à l'Australien vendredi: déjà à l'aise lors de l'unique séance d'essais libres, remportée avec plus de quatre dixièmes d'avance sur le quadruple champion du monde Max Verstappen (Red Bull), il a récidivé lors des qualifications de la course sprint. Piastri a cette fois devancé le Néerlandais et son coéquipier britannique Lando Norris (McLaren) de respectivement 477 et 618 millièmes de seconde, un gouffre ! Samedi midi, il tentera de convertir en victoire cette bonne journée de vendredi lors du sprint, avant de se présenter dans le costume de favori pour les qualifications du Grand Prix en fin d'après-midi. Pour la première journée en piste sous la direction du nouveau patron de l'écurie, le Français Laurent Mekies qui a remplacé le directeur historique Christian Horner limogé il y a deux semaines, Verstappen s'est montré solide et il pourra viser un podium lors du sprint dont la durée sera de seulement 10 tours sur le tracé belge, le plus long de la saison (7,004 km). Hamilton en berne, les Français en forme Le septuple champion du monde Lewis Hamilton (Ferrari) a complètement manqué ses qualifications en réalisant seulement le 18e chrono de la Q1, synonyme d'élimination. Le Britannique semblait bien parti pour arracher sa place en Q2, mais il est parti en tête à queue à l'entrée de la dernière chicane. Son coéquipier monégasque Charles Leclerc a sauvé les meubles pour la Scuderia et s'élancera en quatrième position de la course sprint, juste derrière l'autre McLaren du Britannique Lando Norris. Mercedes a aussi connu une journée noire puisque son leader, l'Anglais George Russell, a pris seulement la 13e place des qualifications, alors que l'Italien Andrea Kimi Antonelli partira en 20e et dernière position. Le rookie est lui aussi parti en tête-à-queue en début de Q1 mais dans les graviers et a probablement endommagé le fond plat de sa monoplace, qui était moins rapide après cet incident. Sous les yeux de nombreux supporters tricolores, les Français ont en revanche été à la fête chez leurs voisins belges vendredi puisqu'ils ont réussi à se glisser tous les trois en Q3. C'est Esteban Ocon (Haas) qui a réalisé la grosse surprise en décrochant une cinquième place sur la grille aussi surprenante qu'inattendue. "Je suis super content ! Ca fait très longtemps qu'on n'avait pas eu de si bonnes sensations avec la voiture. Là on se sent en confiance. L'équipe a vraiment bien bossé. Ce ne sont pas encore des points, mais cette cinquième place veut dire beaucoup, ça montre qu'on progresse, qu'on va dans la bonne direction", a souligné le Normand au micro de Canal+. Pierre Gasly (Alpine), qui avait arraché sa place en Q2 à la dernière seconde, a encore maximisé le potentiel de sa monoplace en prenant la huitième place, juste devant le novice Isack Hadjar (Racing Bulls), qui a obtenu un nouveau Top 10 en qualifications.

25.07.2025 à 18:55

Paris, Londres et Berlin exhortent Israël à mettre fin à "la catastrophe humanitaire" à Gaza

FRANCE 24

Réagissant à l'alerte lancée par l'ONU et les ONG qui dénoncent un risque de famine imminente et généralisée dans la bande de Gaza,  la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne ont appelé le gouvernement israélien à mettre fin à "la catastrophe humanitaire" dans le territoire palestinien et à "lever immédiatement les restrictions sur l'acheminement de l'aide".
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