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25.07.2025 à 17:31

Deuxième jour d'interrogatoire de la complice d'Epstein par un haut responsable du gouvernement Trump

FRANCE24
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Le président Donald Trump a de son côté de nouveau pris ses distances avec le défunt homme d'affaires, dont il était pourtant très proche il y a plus d'une vingtaine d'années. "Je n'ai rien à voir avec ce type", a-t-il déclaré à des journalistes à son départ de Washington pour un voyage en Ecosse. Il a conseillé aux médias de "s'intéresser plutôt" à des personnalités démocrates comme l'ex-président Bill Clinton ou son ministre des Finances Larry Summers, ex-président de Harvard, assurant pouvoir leur "fournir une liste" de personnalités bien plus liées à Jeffrey Epstein que lui. Interrogé sur la possibilité d'accorder une grâce présidentielle ou une commutation de peine à Ghislaine Maxwell, condamnée en 2022 à 20 ans de prison pour trafic sexuel, Donald Trump a assuré "ne pas y avoir pensé", mais a souligné qu'il en avait le pouvoir. La mort de Jeffrey Epstein, riche homme d'affaires retrouvé pendu dans sa cellule à New York le 10 août 2019 avant son jugement pour crimes sexuels, a alimenté d'innombrables théories du complot selon lesquelles il aurait été assassiné pour empêcher des révélations embarrassantes sur des personnalités de premier plan. Donald Trump, qui pendant des mois a promis à sa base des révélations fracassantes sur ce dossier, subit un retour de flamme, y compris dans son propre camp, depuis que son gouvernement a annoncé début juillet n'avoir découvert aucun élément nouveau qui justifierait la publication de documents supplémentaires. Le ministère de la Justice et le FBI, la police fédérale, ont conclu qu'il n'existait aucune preuve de l'existence d'une liste secrète de "clients" de Jeffrey Epstein et confirmé qu'il s'était bien suicidé. "Aucune raison de mentir" C'est dans ce contexte que Todd Blanche, numéro 2 du ministère de la Justice et ancien avocat personnel de Donald Trump dans plusieurs procédures pénales, rencontrait vendredi Ghislaine Maxwell au tribunal de Tallahassee, capitale de la Floride, pour une deuxième journée. L'équipe de Todd Blanche est entrée au tribunal par une porte dérobée, rapportent les médias américains. De son côté, David Markus, l'avocat de Ghislaine Maxwell, ex-compagne et collaboratrice de Jeffrey Epstein, a brièvement parlé aux journalistes à son arrivée. "Ghislaine a été traitée injustement depuis plus de cinq ans maintenant", a-t-il déclaré, la qualifiant de "bouc émissaire". "Tout ce qu'elle dit peut être corroboré et elle dit la vérité. Elle n'a aucune raison de mentir à ce stade et elle continuera à dire la vérité", a ajouté l'avocat, se refusant à la moindre précision sur la teneur de l'interrogatoire. Ghislaine Maxwell a été condamnée en 2022 pour avoir recruté entre 1994 et 2004 des jeunes filles mineures afin qu'Epstein les exploite sexuellement. "Le ministère de la Justice partagera davantage d'information sur ce que nous avons appris au moment opportun", a affirmé Todd Blanche sur X jeudi soir au terme de la première journée de discussions. Donald Trump a par ailleurs de nouveau nié être l'auteur d'une lettre salace à l'intention de Jeffrey Epstein en 2003 pour le 50e anniversaire de celui-ci, dont le Wall Street Journal a fait état la semaine dernière. Il poursuit le quotidien en diffamation pour cet article et lui réclame des milliards de dollars. L'administration Trump et ses alliés font feu de tout bois pour se dépêtrer de cette affaire. Les dirigeants républicains à la Chambre des représentants ont ainsi envoyé dès mercredi les élus en vacances, soit un jour plus tôt que prévu, afin d'éviter des débats potentiellement explosifs, notamment dans leur propre camp, sur l'éventuelle publication de documents de l'affaire Epstein.

25.07.2025 à 17:23

La France va reconnaître l'État de Palestine : qu'est-ce que cela signifie ?

FRANCE24
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Le président français, Emmanuel Macron, a annoncé jeudi 24 juillet que la France allait reconnaître l'État de Palestine en septembre. Mais que signifie concrètement "reconnaître l'État palestinien" ?
Texte intégral (633 mots)
Le président français, Emmanuel Macron, a annoncé jeudi 24 juillet que la France allait reconnaître l'État de Palestine en septembre. Mais que signifie concrètement "reconnaître l'État palestinien" ?

25.07.2025 à 17:11

L'Inde propose de prêter 565 millions de dollars aux Maldives pour sa défense et ses infrastructures

FRANCE24
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Lors de sa première visite officielle dans cet archipel de l'océan Indien depuis qu'il a remporté un troisième mandat l'année dernière, M. Modi a souligné que l'Inde resterait le "premier intervenant" pour les Maldives, qui comptent environ 525.000 habitants. "L'Inde continuera de soutenir les Maldives dans le renforcement de leurs capacités de défense", a déclaré M. Modi, dévoilant une ligne de crédit de 565 millions de dollars pour le pays qui fait face à une grave pénurie de devises étrangères malgré l'attrait pour son industrie touristique haut de gamme. "La paix, la stabilité et la prospérité dans la région de l'océan Indien sont nos objectifs communs", a complété le Premier ministre indien, qui a également inauguré plusieurs projets d'infrastructure, notamment des routes financées par l'Inde ainsi qu'un programme de 4.000 logements. Le président des Maldives Mohamed Muizzu a déclaré que la ligne de crédit de l'Inde serait utilisée pour renforcer les forces de sécurité du pays, améliorer les soins de santé, le logement et l'éducation. "L'assistance continue de l'Inde aux Maldives grâce à l'exportation de produits essentiels est un élément clé de notre coopération bilatérale", a-t-il déclaré. L'Inde se préoccupe d'un possible rapprochement entre les Maldives - que le gouvernement considère traditionnellement comme faisant partie de sa sphère d'influence avec le Sri Lanka - et son rival chinois après l'élection en 2023 du président Mohamed Muizzu sur une rhétorique anti-indienne. Depuis son arrivée au pouvoir, M. Muizzu a obtenu le retrait d'un petit contingent de personnel militaire indien mais a depuis modéré ses propos à l'encontre de son voisin. M. Muizzu a rencontré M. Modi deux fois l'année dernière à New Delhi, et les deux dirigeants ont juré d'entamer un "nouveau chapitre" dans les relations bilatérales.
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Lors de sa première visite officielle dans cet archipel de l'océan Indien depuis qu'il a remporté un troisième mandat l'année dernière, M. Modi a souligné que l'Inde resterait le "premier intervenant" pour les Maldives, qui comptent environ 525.000 habitants. "L'Inde continuera de soutenir les Maldives dans le renforcement de leurs capacités de défense", a déclaré M. Modi, dévoilant une ligne de crédit de 565 millions de dollars pour le pays qui fait face à une grave pénurie de devises étrangères malgré l'attrait pour son industrie touristique haut de gamme. "La paix, la stabilité et la prospérité dans la région de l'océan Indien sont nos objectifs communs", a complété le Premier ministre indien, qui a également inauguré plusieurs projets d'infrastructure, notamment des routes financées par l'Inde ainsi qu'un programme de 4.000 logements. Le président des Maldives Mohamed Muizzu a déclaré que la ligne de crédit de l'Inde serait utilisée pour renforcer les forces de sécurité du pays, améliorer les soins de santé, le logement et l'éducation. "L'assistance continue de l'Inde aux Maldives grâce à l'exportation de produits essentiels est un élément clé de notre coopération bilatérale", a-t-il déclaré. L'Inde se préoccupe d'un possible rapprochement entre les Maldives - que le gouvernement considère traditionnellement comme faisant partie de sa sphère d'influence avec le Sri Lanka - et son rival chinois après l'élection en 2023 du président Mohamed Muizzu sur une rhétorique anti-indienne. Depuis son arrivée au pouvoir, M. Muizzu a obtenu le retrait d'un petit contingent de personnel militaire indien mais a depuis modéré ses propos à l'encontre de son voisin. M. Muizzu a rencontré M. Modi deux fois l'année dernière à New Delhi, et les deux dirigeants ont juré d'entamer un "nouveau chapitre" dans les relations bilatérales.
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