Un an après les révélations de Disclose sur l’usage illégal de Briefcam, un logiciel de surveillance israélien équipé d’une fonctionnalité de reconnaissance faciale, et douze mois après la promesse d’une « enquête administrative indépendante » par l’alors…
Un an après les révélations de Disclose sur l’usage illégal de Briefcam, un logiciel de surveillance israélien équipé d’une fonctionnalité de reconnaissance faciale, et douze mois après la promesse d’une « enquête administrative indépendante » par l’alors…