Lors du procès au civil qui opposait jeudi une victime des graves effets indésirables du Requip au laboratoire GSK, qui commercialise ce médicament antiparkinsonien, le laboratoire a réfuté un manque d’information. Le jugement, qui sera rendu le 12 mars 2026, pourrait faire jurisprudence.
Lors du procès au civil qui opposait jeudi une victime des graves effets indésirables du Requip au laboratoire GSK, qui commercialise ce médicament antiparkinsonien, le laboratoire a réfuté un manque d’information. Le jugement, qui sera rendu le 12 mars 2026, pourrait faire jurisprudence.