La cheffe de file du Rassemblement national comparaissait lundi 10 novembre pour avoir assimilé en 2019 une étudiante de Sciences Po à «l’islam radical», au seul motif qu’elle portait le foulard. Face au tribunal, la jeune femme, un temps engagée auprès des institutions internationales, a dénoncé la violence de cette essentialisation.
La cheffe de file du Rassemblement national comparaissait lundi 10 novembre pour avoir assimilé en 2019 une étudiante de Sciences Po à «l’islam radical», au seul motif qu’elle portait le foulard. Face au tribunal, la jeune femme, un temps engagée auprès des institutions internationales, a dénoncé la violence de cette essentialisation.