Dans un rapport présenté mercredi 5 novembre, l’association Brave Movement dénonce les différences de délai de prescription pour les violences sexuelles sur les mineurs dans les 27 pays de l’Union européenne. Et réclame une abolition pure et simple, avec le soutien de certains députés français.
Dans un rapport présenté mercredi 5 novembre, l’association Brave Movement dénonce les différences de délai de prescription pour les violences sexuelles sur les mineurs dans les 27 pays de l’Union européenne. Et réclame une abolition pure et simple, avec le soutien de certains députés français.