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07.12.2025 à 13:42

Le célèbre photographe britannique Martin Parr est mort à l'âge de 73 ans

FRANCE 24
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Le célèbre photographe Martin Parr est mort à l'âge de 73 ans samedi à Bristol, a annoncé son studio dimanche. 
Le célèbre photographe Martin Parr est mort à l'âge de 73 ans samedi à Bristol, a annoncé son studio dimanche. 

07.12.2025 à 13:37

"Clair obscur", ultra favori aux Games Awards 2025 : qui peut lui faire de l'ombre ?

Grégoire SAUVAGE
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Avec 12 nominations, le jeu vidéo français et phénomène mondial "Clair obscur : expédition 33"aborde les Game Awards 2025 en grandissime favori. Mais cinq titres, de "Hades II" à "Death Stranding 2", rêvent de lui voler la couronne du jeu de l’année.
Avec 12 nominations, le jeu vidéo français et phénomène mondial "Clair obscur : expédition 33"aborde les Game Awards 2025 en grandissime favori. Mais cinq titres, de "Hades II" à "Death Stranding 2", rêvent de lui voler la couronne du jeu de l’année.

07.12.2025 à 13:35

Budget de la "Sécu": Retailleau dénonce "un hold-up fiscal" et appelle les députés LR à ne pas voter pour

FRANCE24
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C'est "un hold-up fiscal" avec l'augmentation de la CSG, "un hold-up social puisqu'on ne fait pas la réforme de la retraite" et "un hold-up démocratique parce que jamais le pays n'a été autant à droite, jamais un gouvernement, une politique n'a été autant à gauche", a déclaré l'ex-ministre de l'Intérieur sur BFMTV. "Ce texte n'est pas votable", nos députés "auront le choix de l'abstention ou de voter contre", a-t-il ajouté. Après avoir adopté, vendredi, le volet recettes du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, les députés doivent voter mardi sur la partie dépenses, puis sur l'ensemble du texte. Le Premier ministre, Sébastien Lecornu, "s'est mis dans les mains des socialistes" avec notamment la suspension de la réforme des retraites et le renoncement à l'article 49.3 de la Constitution pour faire adopter sans vote les budgets, a assuré M. Retailleau. Le vote de mardi reste très incertain à cause des divisions au sein même de la fragile coalition gouvernementale. Mais pour l'ancien locataire de Beauvau, il n'est pas dit qu'il sera rejeté au vu, dénonce-t-il, des "manœuvres de couloirs" et des "petits compromis de l'ombre". Concernant son départ fracassant du gouvernement début octobre, M. Retailleau a tenté de se justifier. "J'avais senti que tout partait à gauche", a-t-il déclaré, déplorant aussi qu'Emmanuel Macron ait "repris la main sur Matignon", en nommant un de ses proches, Sébastien Lecornu, à la tête du gouvernement. Le président de la République "devrait prendre du recul parce que les Français l'ont désavoué" lors des législatives anticipées de 2024 qui ont suivi la dissolution de l'Assemblée nationale, a relevé le président des sénateurs LR. Il doit "se mettre en retrait", a-t-il martelé.
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C'est "un hold-up fiscal" avec l'augmentation de la CSG, "un hold-up social puisqu'on ne fait pas la réforme de la retraite" et "un hold-up démocratique parce que jamais le pays n'a été autant à droite, jamais un gouvernement, une politique n'a été autant à gauche", a déclaré l'ex-ministre de l'Intérieur sur BFMTV. "Ce texte n'est pas votable", nos députés "auront le choix de l'abstention ou de voter contre", a-t-il ajouté. Après avoir adopté, vendredi, le volet recettes du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, les députés doivent voter mardi sur la partie dépenses, puis sur l'ensemble du texte. Le Premier ministre, Sébastien Lecornu, "s'est mis dans les mains des socialistes" avec notamment la suspension de la réforme des retraites et le renoncement à l'article 49.3 de la Constitution pour faire adopter sans vote les budgets, a assuré M. Retailleau. Le vote de mardi reste très incertain à cause des divisions au sein même de la fragile coalition gouvernementale. Mais pour l'ancien locataire de Beauvau, il n'est pas dit qu'il sera rejeté au vu, dénonce-t-il, des "manœuvres de couloirs" et des "petits compromis de l'ombre". Concernant son départ fracassant du gouvernement début octobre, M. Retailleau a tenté de se justifier. "J'avais senti que tout partait à gauche", a-t-il déclaré, déplorant aussi qu'Emmanuel Macron ait "repris la main sur Matignon", en nommant un de ses proches, Sébastien Lecornu, à la tête du gouvernement. Le président de la République "devrait prendre du recul parce que les Français l'ont désavoué" lors des législatives anticipées de 2024 qui ont suivi la dissolution de l'Assemblée nationale, a relevé le président des sénateurs LR. Il doit "se mettre en retrait", a-t-il martelé.
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