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21.11.2025 à 08:34

Face à la montée du trafic de drogue, des maires ruraux souvent démunis

Romain BRUNET
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Alors que le narcotrafic est revenu au cœur de l’actualité avec l’assassinat à Marseille de Mehdi, le frère du militant Amine Kessaci, les maires ruraux rencontrés au Congrès de l’Association des maires de France confient se sentir souvent démunis. Beaucoup luttent avec les moyens du bord.
Alors que le narcotrafic est revenu au cœur de l’actualité avec l’assassinat à Marseille de Mehdi, le frère du militant Amine Kessaci, les maires ruraux rencontrés au Congrès de l’Association des maires de France confient se sentir souvent démunis. Beaucoup luttent avec les moyens du bord.

21.11.2025 à 08:31

Une compagnie de police controversée visée par de nouvelles plaintes

FRANCE24
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L'affaire a d'abord été révélée par les journaux Libération et L'Humanité, qui s'en sont fait l'écho mardi. Selon leurs récits, deux hommes, âgés de 15 ans et 24 ans et ne se connaissant pas, ont subi le 12 septembre des violences, insultes et humiliations de la part de policiers de la controversée compagnie de sécurisation et d’intervention (CSI) de Seine-Saint-Denis. Jeudi, la Ligue des droits de l'Homme a publié un communiqué pour demander le démantèlement de cette compagnie "structurellement à la dérive", dont quatre policiers avaient été condamnés en juin 2023 pour faux procès verbaux et, pour deux d'entre eux, violence volontaire en réunion par personne dépositaire de l'autorité publique. Promise à la dissolution par l'ancien préfet de police de Paris Didier Lallement, la compagnie a finalement été réorganisée et replacée sous l'autorité de la CSI de Paris. Sollicitée par l'AFP, la préfecture de police de Paris a renvoyé vers le parquet de Bobigny en charge du dossier. Selon les plaintes déposées devant l'IGPN et le parquet de Bobigny mi-septembre par le jeune âgé de 15 ans, que l'AFP a consultées, l'adolescent s'était réfugié dans un local poubelle en voyant des policiers et en entendant des tirs de mortiers à proximité de son immeuble. Alors qu'il se cache, il est interpellé et l'un des policiers lui assène "une dizaine de coups de poing avec des gants coqués" et l'insulte, selon l'une des plaintes, qui mentionne également dans le fourgon où il était menotté, des "coups au visage" avec une matraque de la part d'un policier tandis qu'"un autre le frappait à l’aide d’une bombe lacrymogène métallique à de multiple reprises". "Durant ces violences, un des policiers filmait le mineur et lui demandait d’imiter le bruit d’un animal après chacun des coups portés" et notamment "de miauler puis d’aboyer". Selon l'avocat du garçon, Me Pierre Brunisso, l'acte de torture se justifie par "la volonté d'humiliation" et "la durée" des violences. Dans sa plainte, la seconde victime présumée a indiqué que l'un des policiers en moto l'a "percuté volontairement avec sa roue avant sur le côté gauche de (s)a moto" après qu'il venait de descendre, comprenant que les policiers qui le suivaient "étaient là pour (lui)". Il a ensuite reçu un coup de poing et est "tombé par terre, inconscient". Il a ensuite repris conscience dans le véhicule où il a assisté aux coups donnés par "quatre policiers" sur l'adolescent. Interrogé par l'AFP, le parquet de Bobigny n'a pas donné suite.
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L'affaire a d'abord été révélée par les journaux Libération et L'Humanité, qui s'en sont fait l'écho mardi. Selon leurs récits, deux hommes, âgés de 15 ans et 24 ans et ne se connaissant pas, ont subi le 12 septembre des violences, insultes et humiliations de la part de policiers de la controversée compagnie de sécurisation et d’intervention (CSI) de Seine-Saint-Denis. Jeudi, la Ligue des droits de l'Homme a publié un communiqué pour demander le démantèlement de cette compagnie "structurellement à la dérive", dont quatre policiers avaient été condamnés en juin 2023 pour faux procès verbaux et, pour deux d'entre eux, violence volontaire en réunion par personne dépositaire de l'autorité publique. Promise à la dissolution par l'ancien préfet de police de Paris Didier Lallement, la compagnie a finalement été réorganisée et replacée sous l'autorité de la CSI de Paris. Sollicitée par l'AFP, la préfecture de police de Paris a renvoyé vers le parquet de Bobigny en charge du dossier. Selon les plaintes déposées devant l'IGPN et le parquet de Bobigny mi-septembre par le jeune âgé de 15 ans, que l'AFP a consultées, l'adolescent s'était réfugié dans un local poubelle en voyant des policiers et en entendant des tirs de mortiers à proximité de son immeuble. Alors qu'il se cache, il est interpellé et l'un des policiers lui assène "une dizaine de coups de poing avec des gants coqués" et l'insulte, selon l'une des plaintes, qui mentionne également dans le fourgon où il était menotté, des "coups au visage" avec une matraque de la part d'un policier tandis qu'"un autre le frappait à l’aide d’une bombe lacrymogène métallique à de multiple reprises". "Durant ces violences, un des policiers filmait le mineur et lui demandait d’imiter le bruit d’un animal après chacun des coups portés" et notamment "de miauler puis d’aboyer". Selon l'avocat du garçon, Me Pierre Brunisso, l'acte de torture se justifie par "la volonté d'humiliation" et "la durée" des violences. Dans sa plainte, la seconde victime présumée a indiqué que l'un des policiers en moto l'a "percuté volontairement avec sa roue avant sur le côté gauche de (s)a moto" après qu'il venait de descendre, comprenant que les policiers qui le suivaient "étaient là pour (lui)". Il a ensuite reçu un coup de poing et est "tombé par terre, inconscient". Il a ensuite repris conscience dans le véhicule où il a assisté aux coups donnés par "quatre policiers" sur l'adolescent. Interrogé par l'AFP, le parquet de Bobigny n'a pas donné suite.

21.11.2025 à 08:27

Procès renvoyé pour le rappeur Zola, en garde à vue pour séquestration et violences

FRANCE24
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L'artiste de 26 ans, sous contrôle judiciaire et qui devait comparaître notamment pour conduite en ayant fait l'usage de stupéfiants, se trouve en effet depuis mardi en garde à vue en Seine-et-Marne avec trois autres personnes pour séquestration et violences aggravées. Sa garde à vue étant toujours en cours jeudi soir, "le renvoi s'est naturellement imposé", a indiqué son avocat Me Steeve Ruben, joint par l'AFP. "Le conseil du prévenu (a) demandé le renvoi compte tenu de la garde à vue en cours et de l'impossibilité en conséquence de se présenter devant le tribunal", a confirmé le ministère public. Selon Le Parisien qui a révélé cette récente interpellation, les quatre hommes auraient séquestré, violenté et humilié un jeune fan qui aurait voulu photographier le chanteur à son domicile dans la commune du Pin, à une vingtaine de kilomètres à l'est de Paris. Deux amis qui l'accompagnaient ont réussi à prendre la fuite mais la victime aurait été poursuivie dans la rue puis emmenée de force au domicile de Zola, explique Le Parisien. Le jeune homme de 19 ans aurait été contraint de se déshabiller, ses vêtements brûlés, puis aurait été roué de coups, raconte Le Parisien qui ajoute que le rappeur et les autres agresseurs auraient ensuite "tiré des coups de feu en mode rafale avec une arme longue tout près de lui". Zola a été interpellé et placé en garde à vue à l'issue de ces faits pour séquestration arbitraire et vol en bande organisée mais également détention non autorisée d'arme et de munition ainsi que pour des faits de violence aggravée suivie d'une incapacité supérieure à huit jours, a indiqué mercredi soir à l'AFP le procureur Jean-Baptiste Bladier. Jeudi après-midi, le rappeur devait comparaître à Evry pour conduite d'un véhicule en ayant fait usage de stupéfiants, transport d'arme de catégorie D, (un pistolet airsoft et de munitions) ainsi que détention de stupéfiants (du cannabis), en récidive pour ces trois délits. Le musicien avait été interpellé à son domicile fin août 2024, alors que son véhicule avait été repéré par un équipage de gendarmerie à Bondoufle (Essonne) circulant feux éteints à plus de 200 km/h, selon le groupement de gendarmerie du département. Ecouté par plus de trois millions d'auditeurs mensuels sur la plateforme Spotify, Zola est l'auteur de trois albums, dont le premier sorti en 2020.
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L'artiste de 26 ans, sous contrôle judiciaire et qui devait comparaître notamment pour conduite en ayant fait l'usage de stupéfiants, se trouve en effet depuis mardi en garde à vue en Seine-et-Marne avec trois autres personnes pour séquestration et violences aggravées. Sa garde à vue étant toujours en cours jeudi soir, "le renvoi s'est naturellement imposé", a indiqué son avocat Me Steeve Ruben, joint par l'AFP. "Le conseil du prévenu (a) demandé le renvoi compte tenu de la garde à vue en cours et de l'impossibilité en conséquence de se présenter devant le tribunal", a confirmé le ministère public. Selon Le Parisien qui a révélé cette récente interpellation, les quatre hommes auraient séquestré, violenté et humilié un jeune fan qui aurait voulu photographier le chanteur à son domicile dans la commune du Pin, à une vingtaine de kilomètres à l'est de Paris. Deux amis qui l'accompagnaient ont réussi à prendre la fuite mais la victime aurait été poursuivie dans la rue puis emmenée de force au domicile de Zola, explique Le Parisien. Le jeune homme de 19 ans aurait été contraint de se déshabiller, ses vêtements brûlés, puis aurait été roué de coups, raconte Le Parisien qui ajoute que le rappeur et les autres agresseurs auraient ensuite "tiré des coups de feu en mode rafale avec une arme longue tout près de lui". Zola a été interpellé et placé en garde à vue à l'issue de ces faits pour séquestration arbitraire et vol en bande organisée mais également détention non autorisée d'arme et de munition ainsi que pour des faits de violence aggravée suivie d'une incapacité supérieure à huit jours, a indiqué mercredi soir à l'AFP le procureur Jean-Baptiste Bladier. Jeudi après-midi, le rappeur devait comparaître à Evry pour conduite d'un véhicule en ayant fait usage de stupéfiants, transport d'arme de catégorie D, (un pistolet airsoft et de munitions) ainsi que détention de stupéfiants (du cannabis), en récidive pour ces trois délits. Le musicien avait été interpellé à son domicile fin août 2024, alors que son véhicule avait été repéré par un équipage de gendarmerie à Bondoufle (Essonne) circulant feux éteints à plus de 200 km/h, selon le groupement de gendarmerie du département. Ecouté par plus de trois millions d'auditeurs mensuels sur la plateforme Spotify, Zola est l'auteur de trois albums, dont le premier sorti en 2020.
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