La présidente Samia Suluhu Hassan, très critiquée pour la répression sanglante après les élections du 29 octobre, a annoncé ce vendredi 14 novembre la création d’une commission d’enquête. La jeunesse « n’avait aucune idée de ce qu’elle faisait », a-t-elle estimé.
La présidente Samia Suluhu Hassan, très critiquée pour la répression sanglante après les élections du 29 octobre, a annoncé ce vendredi 14 novembre la création d’une commission d’enquête. La jeunesse « n’avait aucune idée de ce qu’elle faisait », a-t-elle estimé.