17.09.2024 à 11:23
En Italie, un texte censuré par le pouvoir à l’occasion de l’anniversaire de la Libération remobilise le courant antifasciste.
En Italie, un texte censuré par le pouvoir à l’occasion de l’anniversaire de la Libération remobilise le courant antifasciste.
17.09.2024 à 10:59
Souvenez-vous, « le monde d’après » tant vanté durant la pandémie de covid 19. On nous disait qu’on allait voir ce qu’on allait voir, que l’austérité, promis, juré, c’était terminé. Pour les bourgeoisies européennes, on sait désormais de quoi il en retourne : l’imposition d’une nouvelle cure d’austérité à l’échelle du continent est bel et bien à l’ordre du jour.
Souvenez-vous, « le monde d’après » tant vanté durant la pandémie de covid 19. On nous disait qu’on allait voir ce qu’on allait voir, que l’austérité, promis, juré, c’était terminé. Pour les bourgeoisies européennes, on sait désormais de quoi il en retourne : l’imposition d’une nouvelle cure d’austérité à l’échelle du continent est bel et bien à l’ordre du jour.
17.09.2024 à 10:46
Nous explorons avec Pauline Perrenot les thématiques abordées dans son dernier ouvrage, Les Médias contre la gauche (Agone, 2023) au regard de la séquence électorale que nous venons de vivre. L’autrice et journaliste nous offre une analyse incisive des dynamiques médiatiques et de l’ostracisme, voire de la diabolisation des discours progressistes au profit d’une normalisation et d’une promotion de ceux d’extrême droite, et appelle l’ensemble des forces de gauche à politiser davantage les questions médiatiques.
Entretien avec Pauline Perrenot (ACRIMED)
Propos recueillis par Élodie Lebeau-Fernández
Nous explorons avec Pauline Perrenot les thématiques abordées dans son dernier ouvrage, Les Médias contre la gauche (Agone, 2023) au regard de la séquence électorale que nous venons de vivre. L’autrice et journaliste nous offre une analyse incisive des dynamiques médiatiques et de l’ostracisme, voire de la diabolisation des discours progressistes au profit d’une normalisation et d’une promotion de ceux d’extrême droite, et appelle l’ensemble des forces de gauche à politiser davantage les questions médiatiques.
Entretien avec Pauline Perrenot (ACRIMED)
Propos recueillis par Élodie Lebeau-Fernández
06.09.2024 à 12:40
La crise politique que nous traversons a mis la question des médias au centre du débat public. Le pire des dangers a été évité avec l’absence de majorité absolue pour le Rassemblement national mais son inquiétante progression a montré de façon éclatante le rôle que peuvent jouer radios, chaînes de télévisions ou plateformes numériques pour façonner les esprits, influencer le vote et le destin d’un pays. Cette partie se joue avec d’un côté des milliardaires au service d’un funeste projet de « civilisation » et de l’autre un service public encore important mais fragilisé et menacé dans son existence même. Nous sommes à la croisée des chemins, il est impératif de réagir.
La crise politique que nous traversons a mis la question des médias au centre du débat public. Le pire des dangers a été évité avec l’absence de majorité absolue pour le Rassemblement national mais son inquiétante progression a montré de façon éclatante le rôle que peuvent jouer radios, chaînes de télévisions ou plateformes numériques pour façonner les esprits, influencer le vote et le destin d’un pays. Cette partie se joue avec d’un côté des milliardaires au service d’un funeste projet de « civilisation » et de l’autre un service public encore important mais fragilisé et menacé dans son existence même. Nous sommes à la croisée des chemins, il est impératif de réagir.
06.09.2024 à 12:03
Le lundi 25 mars 2024, la commission culture du Parti communiste de Haute-Garonne a organisé à Toulouse une rencontre alternative dans le cadre des États généraux de l’information. Dans le cadre des « États généraux de la presse indépendante », le parti communiste souhaitait s’inviter dans le débat et participer, en tant qu’organisation politique, à la réflexion citoyenne sur la reconquête démocratique des médias. Cause commune retranscrit la teneur de deux tables rondes organisées à cette occasion.
Avec Bertrand Thomas, membre de la commission culture du PCF 31 et ancien directeur de l’École de journalisme de Toulouse, Olivier Cimpello, journaliste au groupe La Dépêche du Midi, et ex-secrétaire général du Syndicat national des journalistes CGT (SNJ-CGT), Gaël Cérez, rédacteur en chef de Médiacités Toulouse et Rosa Moussaoui, grand reporter à L’Humanité.
Le lundi 25 mars 2024, la commission culture du Parti communiste de Haute-Garonne a organisé à Toulouse une rencontre alternative dans le cadre des États généraux de l’information. Dans le cadre des « États généraux de la presse indépendante », le parti communiste souhaitait s’inviter dans le débat et participer, en tant qu’organisation politique, à la réflexion citoyenne sur la reconquête démocratique des médias. Cause commune retranscrit la teneur de deux tables rondes organisées à cette occasion.
Avec Bertrand Thomas, membre de la commission culture du PCF 31 et ancien directeur de l’École de journalisme de Toulouse, Olivier Cimpello, journaliste au groupe La Dépêche du Midi, et ex-secrétaire général du Syndicat national des journalistes CGT (SNJ-CGT), Gaël Cérez, rédacteur en chef de Médiacités Toulouse et Rosa Moussaoui, grand reporter à L’Humanité.
06.09.2024 à 11:20
Propos recueillis par Pierre Crépel
Propos recueillis par Pierre Crépel
05.09.2024 à 16:24
Le paysage médiatique est en total bouleversement : concentration de la presse écrite au profit des grands groupes (Lagardère, Saadé, Bolloré) et principalement de neuf milliardaires, poids des GAFAM et des plateformes principalement américaines, influence des algorithmes sur les contenus de l’information, rôle sensible des réseaux sociaux en direction des jeunes générations, audiovisuel public en voie de recomposition structurelle sous l’impulsion de l’exécutif, etc.
Entretien avec Michel Diard
Propos recueillis par Patrick Kamenka
Le paysage médiatique est en total bouleversement : concentration de la presse écrite au profit des grands groupes (Lagardère, Saadé, Bolloré) et principalement de neuf milliardaires, poids des GAFAM et des plateformes principalement américaines, influence des algorithmes sur les contenus de l’information, rôle sensible des réseaux sociaux en direction des jeunes générations, audiovisuel public en voie de recomposition structurelle sous l’impulsion de l’exécutif, etc.
Entretien avec Michel Diard
Propos recueillis par Patrick Kamenka
05.09.2024 à 16:11
Le premier réflexe aujourd’hui pour s’informer est d’ouvrir Google news sur son téléphone ou de consulter son fil d’actualité Twitter. L’accès à l’information a été complètement bouleversé, en quelques années seulement, par la révolution numérique et les Big Data ; les algorithmes sont au cœur de cette révolution.
Le premier réflexe aujourd’hui pour s’informer est d’ouvrir Google news sur son téléphone ou de consulter son fil d’actualité Twitter. L’accès à l’information a été complètement bouleversé, en quelques années seulement, par la révolution numérique et les Big Data ; les algorithmes sont au cœur de cette révolution.
05.09.2024 à 15:51
L’étude de l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, ex-CSA) dresse un état des lieux sur le rapport que les Français entretiennent avec l’information et les journalistes, afin de savoir comment ils s’informent, comment ils choisissent leurs sources d’information, et enfin quelle image ils ont des médias et des journalistes.
par Patrick Kamenka
L’étude de l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, ex-CSA) dresse un état des lieux sur le rapport que les Français entretiennent avec l’information et les journalistes, afin de savoir comment ils s’informent, comment ils choisissent leurs sources d’information, et enfin quelle image ils ont des médias et des journalistes.
par Patrick Kamenka
05.09.2024 à 15:44
par Elodie Lebeau-Fernandez et Flavien Ronteix
par Elodie Lebeau-Fernandez et Flavien Ronteix
04.09.2024 à 16:41
À l’occasion de la dernière séquence électorale marquée par la dissolution de l’Assemblée nationale, Cause commune a rencontré le président du groupe de la Gauche démocrate et républicaine, le député du Puy-de-Dôme, André Chassaigne. Ce grand entretien est l’occasion pour notre rédaction de revenir avec lui sur ces élections, le rassemblement de la gauche derrière la bannière du Nouveau Front populaire mais aussi sur l’avenir de cette nouvelle législature.
Propos recueillis par Nicolas Tardits
À l’occasion de la dernière séquence électorale marquée par la dissolution de l’Assemblée nationale, Cause commune a rencontré le président du groupe de la Gauche démocrate et républicaine, le député du Puy-de-Dôme, André Chassaigne. Ce grand entretien est l’occasion pour notre rédaction de revenir avec lui sur ces élections, le rassemblement de la gauche derrière la bannière du Nouveau Front populaire mais aussi sur l’avenir de cette nouvelle législature.
Propos recueillis par Nicolas Tardits