À son élection en 2019, Kaïs Saïed a fait de la réforme des institutions publiques une priorité, mais ces changements piétinent. La réconciliation pénale reste un mirage et la crise de l'eau s'aggrave. Malgré quelques initiatives dans d'autres secteurs, notamment l'énergie, les résultats concrets se font attendre. Le bilan reste donc mitigé, entre désillusion et dégradation constante de la situation économique et sociale du pays.