Dans les rues de Kasserine, les agentes de propreté débutent leur journée dès les premières lueurs de l'aube, affrontant un froid glacial et un travail éprouvant. Faute d’équipement de protection et de matériel, qu’elles doivent souvent acheter elles-mêmes, elles se sentent “humiliées”. Malgré des années passées à servir la communauté, la régularisation de leur situation demeure un rêve inaccessible pour beaucoup d'entre elles.