Alors que l’arrêté inter préfectoral régulant l’activité croisière sur la Côte d’Azur vient d’entrer en vigueur, la Métropole Nice Côte d’Azur conteste un texte jugé trop timoré en relevant la tarification des navires les plus polluants. Une taxe locale qui vient alourdir une facture déjà conséquente, prévient l’union maritime.
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Alors que l’arrêté inter préfectoral régulant l’activité croisière sur la Côte d’Azur vient d’entrer en vigueur, la Métropole Nice Côte d’Azur conteste un texte jugé trop timoré en relevant la tarification des navires les plus polluants. Une taxe locale qui vient alourdir une facture déjà conséquente, prévient l’union maritime.