Retailleau se félicite de voir Macron mettre fin à la «diplomatie des bons sentiments» avec Alger. Macron, lui, assure qu’il n’a pas «changé d’avis» et met la pression sur son ministre de l’Intérieur, qui le lui rend bien.
Retailleau se félicite de voir Macron mettre fin à la «diplomatie des bons sentiments» avec Alger. Macron, lui, assure qu’il n’a pas «changé d’avis» et met la pression sur son ministre de l’Intérieur, qui le lui rend bien.