Pour la Cour des comptes, l’école primaire, mal financée et mal organisée, contribue à l’aggravation des inégalités sociales et à la baisse du niveau. Les magistrats plaident aussi pour une révision du rythme scolaire, en écho à la consultation sur les «temps de l’enfant» voulue par Emmanuel Macron.
Pour la Cour des comptes, l’école primaire, mal financée et mal organisée, contribue à l’aggravation des inégalités sociales et à la baisse du niveau. Les magistrats plaident aussi pour une révision du rythme scolaire, en écho à la consultation sur les «temps de l’enfant» voulue par Emmanuel Macron.