Il y a actuellement plus de 1200 prisonniers politiques au Bélarus, selon le Viasna Human Rights Center. Ceux qui ont été libérés des prisons biélorusses ont décrit des conditions infernales, en particulier pour les femmes, qui sont non seulement privées de soins médicaux, mais aussi de produits menstruels de base lorsqu'elles sont derrière les barreaux. L'été dernier, la situation s'est encore aggravée avec l'entrée en vigueur de nouvelles règles qui limitent la fourniture de serviettes et de tampons aux détenues à deux fois par an. À la demande de Meduza, la journaliste biélorusse Yevgeniya Dolgaya, fondatrice du projet Politvyazynka, a recueilli des témoignages de femmes ayant survécu à ces conditions brutales. La photographe Volya, elle-même ancienne prisonnière politique biélorusse, a réalisé les photos et les vidéos de ce reportage.
Notre sélection internationaleLire plus (162 mots)
Il y a actuellement plus de 1200 prisonniers politiques au Bélarus, selon le Viasna Human Rights Center. Ceux qui ont été libérés des prisons biélorusses ont décrit des conditions infernales, en particulier pour les femmes, qui sont non seulement privées de soins médicaux, mais aussi de produits menstruels de base lorsqu'elles sont derrière les barreaux. L'été dernier, la situation s'est encore aggravée avec l'entrée en vigueur de nouvelles règles qui limitent la fourniture de serviettes et de tampons aux détenues à deux fois par an. À la demande de Meduza, la journaliste biélorusse Yevgeniya Dolgaya, fondatrice du projet Politvyazynka, a recueilli des témoignages de femmes ayant survécu à ces conditions brutales. La photographe Volya, elle-même ancienne prisonnière politique biélorusse, a réalisé les photos et les vidéos de ce reportage.
Notre sélection internationale