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Alors que ce traitement est remis en question « depuis la découverte d'effets indésirables (cardiovasculaires, cancers du sein) dans les années 2000 », on aurait tort de s'en passer selon le gynécologue Michel Mouly : il permettrait « la poursuite d'une libido » et « de réduire de 25 à 35 % » le risque d'Alzheimer. « Et pourquoi pas une cure de jouvence ? », s'interroge ironiquement *UFC-Que Choisir*.
Il n'est pourtant pas le seul médecin à défendre le traitement hormonal de la ménopause (…)
Alors que ce traitement est remis en question « depuis la découverte d'effets indésirables (cardiovasculaires, cancers du sein) dans les années 2000 », on aurait tort de s'en passer selon le gynécologue Michel Mouly : il permettrait « la poursuite d'une libido » et « de réduire de 25 à 35 % » le risque d'Alzheimer. « Et pourquoi pas une cure de jouvence ? », s'interroge ironiquement UFC-Que Choisir.
Il n'est pourtant pas le seul médecin à défendre le traitement hormonal de la ménopause (THM). Face aux « symptômes parfois très lourds » de cette période de vie (ou des mois qui la précèdent) durant laquelle le corps arrête de produire des hormones sexuelles, ce soin consiste à absorber un duo d'estrogène et de progestatif pour soulager ce phénomène. Malgré ses effets négatifs avérés, UFC-Que Choisir constate que le THM est de plus en plus défendu dans les médias récemment : « Prévention des fractures dues à l'ostéoporose », protection contre le risque d'AVC chez les femmes jeunes, mortalité du cancer du sein « divisée par deux »...
Pour chaque argument, le média nuance ou contredit ces promesses par des résultats scientifiques (ou leur absence), avec l'aide d'une épidémiologiste « qui déclare n'avoir aucun lien d'intérêts ». Car c'est l'autre talon d'Achille des experts pro-THM cités : leurs conflits d'intérêts. L'enquête révèle qu'un des médecins a écrit des livres promouvant ce traitement, et que deux autres ont « accompagné et soutenu » des labos commercialisant le THM, ou reçu de leur part « 29 000 € depuis 2021 ». Sans nier l'utilité de ce soin dans certains cas, le média dénonce ainsi « une forme de désinformation » entravant « un choix éclairé » par les patientes.
23.12.2025 à 12:49
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23.12.2025 à 09:15
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22.12.2025 à 13:01
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Sur la carte dessinée par *Visionscarto*, des lignes et zones vertes sillonnent le quartier de Marikina, au nord-est de Manille (Philippines). Ce sont les « espaces perçus comme plaisants et sains » par Sophia Pelago, 28 ans, habitante de l'aire métropolitaine de cette gigantesque capitale de 25 millions d'habitants. Une densité de population qui a des effets négatifs : au sud de son secteur, une large bande rouge indique les autoroutes polluantes, et au nord, des croix violettes signalent (…)
- Économie et social / Philippines, Pollutions, Urbanisme
Sur la carte dessinée par Visionscarto, des lignes et zones vertes sillonnent le quartier de Marikina, au nord-est de Manille (Philippines). Ce sont les « espaces perçus comme plaisants et sains » par Sophia Pelago, 28 ans, habitante de l'aire métropolitaine de cette gigantesque capitale de 25 millions d'habitants. Une densité de population qui a des effets négatifs : au sud de son secteur, une large bande rouge indique les autoroutes polluantes, et au nord, des croix violettes signalent les usines toxiques d'armement et de tabac. Le média publie ici la version française du témoignage de la jeune femme, recueilli dans le cadre du projet « Écologies incarnées » mené en 2020 et 2021 par l'université de Wageningen aux Pays-Bas.
L'idée ? « Donner la parole aux habitants des communautés urbaines particulièrement exposées à la pollution », et illustrer leur vécu notamment par des « cartographies sensorielles ». En plus des cartes, Sophia Pelago décrit ses lieux de vie avec tous ses sens : du « temps des études », près d'un jardin relaxant et plein de souvenirs où elle aime revenir, au « temps du travail », où les trajets boulot-dodo en bus ou en voiture sont marqués par la fumée des pots d'échappement et des lieux publics aux odeurs si « répugnantes » qu'elle « retient sa respiration ». Cette manière de cartographier un témoignage immerge le lecteur dans le quotidien de l'habitante. Et illustre les inégalités géographiques de la capitale philippine, où il suffit de quelques kilomètres pour perdre considérablement en qualité de vie.
22.12.2025 à 09:22
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