Deux semaines après la parution de La Meute, la gauche reste silencieuse. Pas de débat, pas de remise en question. Peut-on défendre la démocratie sans l’exiger en interne ?
Deux semaines après la parution de La Meute, la gauche reste silencieuse. Pas de débat, pas de remise en question. Peut-on défendre la démocratie sans l’exiger en interne ?