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25.11.2025 à 19:16

Sondeurs milliardaires même combat

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Lyon Capitale et l'Ifop-Fididucial donnent J-M Aulas vainqueur des prochaines municipales. Elles auront lieu dans quatre mois... Qu'à cela tienne, l'ancien patron de l'Olympique lyonnais demeurerait largement favori pour accéder à la mairie, 61% contre 39% à G. Doucet, l'actuel maire.
Le milliardaire C. Latouche [1] (Pdg de Fiducial, propriétaire notamment de Lyon-Capitale, de Sud radio, et actionnaire du club rugby du Stade toulousain), tout comme V. Bolloré, paye les sondages qui lui sied, mais à (...)

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Lyon Capitale et l'Ifop-Fididucial donnent J-M Aulas vainqueur des prochaines municipales. Elles auront lieu dans quatre mois... Qu'à cela tienne, l'ancien patron de l'Olympique lyonnais demeurerait largement favori pour accéder à la mairie, 61% contre 39% à G. Doucet, l'actuel maire.

Le milliardaire C. Latouche [1] (Pdg de Fiducial, propriétaire notamment de Lyon-Capitale, de Sud radio, et actionnaire du club rugby du Stade toulousain), tout comme V. Bolloré, paye les sondages qui lui sied, mais à la différence du patron de Canal plus et autres, avec qu'il partage ses goûts idéologiques et son « amour » pour la Bretagne [2], depuis bien plus longtemps.


[1] Bien connu de l'Observatoire.

[2] Il est propriétaire de l'île de Boëdic, dans le golfe du Morbihan, acquise en 2015 pour un montant estimé à 3,9 millions d'euros. Cf. Wikipédia.

14.11.2025 à 16:18

Petite guerre des sondages à Bordeaux

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Un candidat avait-il anticipé la querelle en commandant en catimini un sondage où il apparaissait en tête des opposants au maire sortant ? En tout cas la situation à Bordeaux avant les municipales est en train de se transformer en « guerre des sondages » selon le quotidien régional Sud Ouest.
Thomas Cazenave a tiré le premier avec un sondage IFOP relayé par le journal où il apparaissait mieux placé que sa rivale Nathalie Delattre de la non majorité présidentielle (Cf. Municipales : bientôt la gueule de (...)

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Texte intégral (572 mots)

Un candidat avait-il anticipé la querelle en commandant en catimini un sondage où il apparaissait en tête des opposants au maire sortant ? En tout cas la situation à Bordeaux avant les municipales est en train de se transformer en « guerre des sondages » selon le quotidien régional Sud Ouest.

Thomas Cazenave a tiré le premier avec un sondage IFOP relayé par le journal où il apparaissait mieux placé que sa rivale Nathalie Delattre de la non majorité présidentielle (Cf. Municipales : bientôt la gueule de bois). Celle-ci a riposté en annonçant son propre sondage. Cela faisait-il mauvais genre ? Qui suggéra de s'entendre entre adversaires du même camp ou presque pour organiser un sondage commun ? Une réunion en visio (pour ne pas s'étriper ?) trancha le 10 novembre. Elle se conclut sur un désaccord entre les parties sur la formulation des questions et sur le test de leurs deux candidatures séparées. Explications des intéressés dans le registre langue de bois. Pour Nathalie Delattre, « Poser toutes les questions, sans en écarter aucune (…), permettra de clarifier les attentes locales et de préparer, dans la transparence, une candidature commune dès le premier tour », permettrait de « faire avancer l'union ». Pour sa part, Thomas Cazenave assure : « je ne souhaite pas tester la désunion parce que je défends mordicus l'union (…). Je ne cherche pas à savoir qui a le poids le plus important séparément ». Et pour conclure, « la réalité, c'est qu'il y aura plusieurs sondages », espérant qu'« à la fin, il va se dessiner quelque chose ».

Il n'est pas nouveau que les sondages soient conviés à départager les candidats. Une fonction implicite d'élections primaires. Encore faut-il pouvoir organiser celles-ci. Il semble que ce soit de plus en plus difficile. La querelle bordelaise a pris un autre tour en révélant la méfiance des candidats à l'égard des sondages. Cette méfiance est à un double niveau. Classique l'une concerne les "instituts" de sondages que les politiques soupçonnent souvent de partis pris. Mais ces doutes voire ces certitudes s'expriment rarement en public. On ne sait jamais. Une nouvelle méfiance transparaît dans l'affaire bordelaise. Une méfiance ou un aveu ? Les politiques semblent accepter que les questions ne soient pas forcément neutres et qu'il est important de commander les « bonnes questions ». On mettait en cause la neutralité des sondeurs, voilà que les commanditaires se préoccupent de méthodologie., chacun tenant à payer le sien. La querelle devrait déboucher sur une expérience intéressante avec les résultats annoncés fin novembre. Convergeront-ils ?

13.11.2025 à 15:09

Mdr (mort de rire)

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France Info n'est certes pas (totalement) fâché avec les chiffres mais avec leur visualisation graphique. Ce qui n'est pas mieux, surtout lorsque l'on commet cette faute deux fois, la correction (tout aussi fausse) étant sensée corriger la première. Une question d'échelle ?
La chaine d'info en continu n'a pas de « chance » avec les sondages. La figuration du dernier sondage Elabe pour la présidentielle 2027 (un non sens absolu à deux ans de élection rappelons tout de même) présente quelque « anomalie » dont (...)

- Bêtisier
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France Info n'est certes pas (totalement) fâché avec les chiffres mais avec leur visualisation graphique. Ce qui n'est pas mieux, surtout lorsque l'on commet cette faute deux fois, la correction (tout aussi fausse) étant sensée corriger la première. Une question d'échelle ?

La chaine d'info en continu n'a pas de « chance » avec les sondages. La figuration du dernier sondage Elabe pour la présidentielle 2027 (un non sens absolu à deux ans de élection rappelons tout de même) présente quelque « anomalie » dont Libération (13 novembre) a relevé l'existence sans pour autant critiquer sur le fond cette mesure absurde...Le plus drôle c'est que la chaine d'info a commis la même erreur dans la « correction » qu'elle y a apportée.

La première présentation mettait J-L Mélenchon (12%) et F. Hollande (6,5%) étaient représentés à « égalité », et X. Bertrand (5.5%) plus haut que E. Zemmour (6%).

Qu'à cela ne tienne on recommença.

Le « bon ». Cherchez l'erreur ...

7 / 10

 

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