Dans «les Irresponsables. Qui a porté Hitler au pouvoir ?» le professeur d’histoire contemporaine à la Sorbonne raconte l’assassinat d’une démocratie par «une petite oligarchie désinvolte».

Pour l’illustration de leur troisième album, les six musiciens d’Animal triste ont travaillé avec l’artiste Yann Orhan, un ami qu’ils considèrent comme «un des membres du groupe». Ils racontent collégialement l’histoire de cette pochette.

Sorti en 1983, le film du photographe plonge dans les traumas profonds des Etats-Unis du XVIIIe siècle. Une œuvre hors du temps marquée par une rare maîtrise du folk horror.

L’écrivain, dont le roman «le Système Victoria» est adapté au cinéma, dévoile ses goûts musicaux à «Libération»

L’artiste gallois expose au centre Pompidou-Metz sa myriade de sculptures en néons concurrencées par le dehors et par l’éclat que les unes projettent sur les autres.

L’institution romaine, sous la tutelle du ministère de la Culture, s’est récemment appuyée sur de nombreux partenariats privés pour développer ses activités.

Pop et bariolée, légère, inscrite dans les codes déjà explorés par la revue «Toiletpaper», l’expo coordonnée à Rome par Sam Stourdzé et Maurizio Cattelan fait alterner artistes majeurs, jeunes talents et pionniers du genre.

La mégaproduction des frères Russo n’a rien d’autre à proposer qu’un concept SF poussif et mille fois vu et revu.

Quatrième et dernière saison de la farce précieuse sur les nantis de l’Amérique évangélique, qui aurait mérité moins d’indifférence mais loupe le train du trumpisme.

Plusieurs personnes sont poursuivies après des accusations de fraude dans la succession houleuse du richissime producteur Claude Berri, mort en 2009, a a-t-on appris vendredi de sources proches du dossier.

Dans un contexte économique de plus en plus difficile, les artisans dévoués à la musique perpétuent une tradition séculaire.

La députée écologiste, présidente de la commission d’enquête sur les violences commises dans le milieu culturel, s’exprime sur les dernières auditions dont celle, mouvementée, du producteur Dominique Besnehard, jeudi 13 mars, et de célèbres acteurs.

Le troisième roman de l’auteur établi à Berlin, «le Chant du merle humain», est le monologue d’un narrateur obsédé par les oiseaux. Rencontre à Paris autour de ce livre court qui paraît repartir à zéro et poser sur tout un regard neuf.

Entretien avec l’autrice de «la Guerre par d’autres moyens» dont le personnage principal est un ex-président de la République battu par une femme d’extrême droite.

Le groupe Niantic a cédé l’application à succès à un autre éditeur contrôlé par le fonds souverain d’Arabie Saoudite. La transaction répond à la stratégie du royaume de se diversifier, notamment dans le secteur des loisirs.

Dans «Marseille 1940, quand la littérature s’évade», le journaliste et historien retrace l’épopée des écrivains allemands réfugiés en France pour fuir la Gestapo.

Comparée à Dieudonné par Delphine Horvilleur dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux mercredi, Blanche Gardin se défend de tout antisémitisme. En cause : un sketch de l’humoriste l’été dernier, lors d’une soirée de mobilisation en faveur du cessez-le-feu à Gaza.

«Des âmes aimantantes», une vieillesse maternelle surjouée, une maison à désenvoûter, un hameau reculé, des feuillets inédits d’Adèle Hugo, des ossements de caméléons, une voie éthique «à côté de celle du héros, du martyr, et du saint» et la sapience.

Du nazisme à la post-apocalypse, un triptyque violent et sublime de l’auteur allemand mort en 1979.

Dernier volet de la «Septologie» en trois volumes de l’écrivain norvégien, Prix Nobel 2023.

Auditionné à l’Assemblée nationale jeudi 13 mars, l’ancien agent de stars et producteur a revendiqué appartenir «à l’ancien monde» et a mis en cause le comportement de certaines actrices qui dénoncent des viols.

Avec ce huitième album, Lady Gaga se paye le luxe d’arriver avec fracas pile où on l’attendait.

De sa naissance underground aux Etats-Unis à son arrivée tardive en France, le graffiti a su inventer ses propres langages et dépasser les clivages sociaux pour investir l’espace public, jusqu’à trouver sa place dans les galeries.

Un an après son saisissant quintuple album live, la formation jazz, portée par l’héritage du contrebassiste Ahmed Abdul-Malik (1927-1993), se produit ce vendredi 14 mars au festival Banlieues bleues.