Une semaine après la réélection du chef de l'Etat, le gouvernement équatorien accuse "des organisations criminelles associées à des entités politiques qui ont perdu les élections" de vouloir "attenter à la vie du président de la République".
Celui qui a dirigé Bercy de 2017 à 2024 propose également de "fondre" les titres de la Banque européenne d'investissement et ceux de la dette commune européenne issue du plan de relance lié au Covid-19.