Les échanges, mercredi 14 mai à l’Assemblée nationale, entre le Premier ministre et la commission d’enquête sur l’affaire de violences physiques et sexuelles ont été des plus tendus. François Bayrou a présenté sa défense avec virulence “après des mois de petits mots maladroits”, mais cela ne change rien au fait qu’il se trouve “dans les cordes”, estime la presse étrangère.
Les échanges, mercredi 14 mai à l’Assemblée nationale, entre le Premier ministre et la commission d’enquête sur l’affaire de violences physiques et sexuelles ont été des plus tendus. François Bayrou a présenté sa défense avec virulence “après des mois de petits mots maladroits”, mais cela ne change rien au fait qu’il se trouve “dans les cordes”, estime la presse étrangère.