Lien du flux RSS
Chaîne de service public - Actualité internationale.

▸ les 15 dernières parutions

20.12.2025 à 09:55

Les principaux disparus en France en 2025

FRANCE24
img
JANVIER - 4: Claude ALLEGRE, 87 ans, géochimiste, ancien ministre de l'Education nationale - 7: Jean-Marie LE PEN, 96 ans, figure de l'extrême droite, fondateur du Front national (FN) et finaliste de l'élection présidentielle en 2002 face à Jacques Chirac - 20: Bertrand BLIER, 85 ans, cinéaste, auteur de films cultes et provocants comme "Les Valseuses" - 21: Valérie ANDRE, 102 ans, médecin militaire, parachutiste, pilote d'hélicoptère et première Française générale - 22: Jean-François KAHN, 86 ans, journaliste, fondateur de L'Evènement du Jeudi et de Marianne - 28: Catherine LABORDE, 73 ans, ancienne présentatrice météo, figure populaire de TF1 FEVRIER - 6: Paul-Loup SULITZER, 78 ans, écrivain, homme d'affaires, auteur à succès de thrillers politico-financiers MARS - 2: Herbert LEONARD, 80 ans, chanteur au succès immense dans les années 1980 - 4: Jean-Louis DEBRE, 80 ans, ex-président de l'Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel, fidèle de Jacques Chirac - 16: Emilie DEQUENNE, 43 ans, actrice belge installée en France, révélée à 18 ans pour son premier rôle dans "Rosetta" - 31: Yves BOISSET, 86 ans, cinéaste connu pour ses films engagés AVRIL - 21: Odile de VASSELOT, 103 ans, ancienne résistante - 30: Isidore PARTOUCHE, 94 ans, fondateur du groupe de casinos Partouche et roi des machines à sou MAI - 14: Daniel BILALIAN, 78 ans, ex-présentateur de JT et figure de France Télévisions - 17: WERENOI, 31 ans, rappeur, numéro un des ventes d'albums en France en 2023 et 2024 - 23: Sebastião SALGADO, 81 ans, photographe franco-brésilien connu pour ses photos en noir et blanc - 24: Marcel OPHULS, 97 ans, documentariste, auteur du film "Le Chagrin et la pitié" sur la France de Vichy - 27: Jean TIBERI, 90 ans, ancien maire RPR de Paris, éclaboussé par les affaires - 30: Etienne-Emile BAULIEU, 98 ans, médecin et chercheur, inventeur de la pilule abortive JUIN - 2: Pierre NORA, 93 ans, historien, éditeur et académicien - 4: Nicole CROISILLE, 88 ans, chanteuse, danseuse et comédienne, interprète du succès planétaire "dabadabada" dans "Un homme et une femme" - 4: Philippe LABRO, 88 ans, journaliste, patron de radio, auteur de romans à succès, cinéaste mais aussi parolier de chansons - 17: Bernard LACOMBE, 72 ans, footballeur, figure de l'Olympique lyonnais JUILLET - 7: Olivier MARLEIX, 54 ans, député de l'Eure, ancien président du groupe LR à l'Assemblée - 14: Thierry ARDISSON, 76 ans, publicitaire, animateur et producteur, figure impertinente de la télévision - 14: Jean-Pierre AZEMA, 87 ans, historien, spécialiste de la Seconde Guerre mondiale - 16: Loïk LE FLOCH-PRIGENT, 81 ans, grand capitaine d'industrie, emprisonné quelques années dans "l'affaire Elf" - 18: André VINGT-TROIS, 82 ans, cardinal, ancien archevêque de Paris SEPTEMBRE - 23: Ziad TAKIEDDINE, 75 ans, homme d'affaires franco-libanais et l'un des grands protagonistes des affaires politico-financières françaises - 23: Claudia CARDINALE, 87 ans, actrice italienne naturalisée française, icône du cinéma italien et muse des plus grands réalisateurs OCTOBRE - 31 : Tchéky KARYO, 72 ans, acteur franco-turc aux quelque 80 films dont "L'Ours" de Jean-Jacques Annaud et "Nikita" de Luc Besson NOVEMBRE - 4 : Claude BEBEAR, 90 ans, figure du capitalisme français et fondateur de l'assureur Axa - 6 : Louis SCHWEITZER, 83 ans, patron du constructeur automobile Renault pendant 13 ans et ex-directeur de cabinet de Laurent Fabius à Matignon - 16 : Xavier EMMANUELLI, 87 ans, confondateur de Médecins sans frontières et fondateur du Samu social - 22 : Robert BIRENBAUM, 99 ans, résistant, frère d'armes de Missak Manouchian DECEMBRE - 12 : Françoise BRION, 92 ans, actrice en vogue au cinéma à l'époque de la Nouvelle Vague - 16 : EDIKA, 84 ans, dessinateur de bande dessinée et pilier de "Fluide Glacial"

20.12.2025 à 09:19

Honduras: ultime recomptage pour enfin l'épilogue d'une présidentielle à suspense

FRANCE24
img
Munis de gants en latex, presque à la manière de laborantins médicaux-légistes, des membres de l'Autorité électorale (CNE) examinent minutieusement chaque suffrage, sous le regard de représentants des partis. Quelque 28.000 procès-verbaux de bureaux de vote présentant des "incohérences" sont passés à la loupe. Ils représentent quelque 500.000 suffrages alors que seulement 40.000 voix séparent l'homme d'affaires conservateur Nasry Asfura, 67 ans, soutenu par le président américain Donald Trump, de l'animateur de télévision libéral, Salvador Nasralla, 72 ans. Des observateurs électoraux de l'Organisation des Etats américains (OEA) et de l'UE participent au bon déroulement des opérations, retransmises sur la chaîne YouTube du CNE. L'entrepôt est gardé par l'armée. "Nous ne faisons pas confiance aux autorités parce qu'elles commettent les fraudes habituelles, on est revenus aux élections à la hondurienne", souffle Carlos Castillo, 53 ans, partisan du parti Libre (gauche) au pouvoir, dont la candidate, Rixi Moncada, pointe loin derrière, à la troisième place. Les multiples suspensions du dépouillement, en raison, selon le CNE, de problèmes techniques imputés à l'entreprise privée chargée de la transmission et de la diffusion des résultats, ont alimenté les soupçons de fraude électorale. M. Nasralla, un temps en tête avant la première suspension, a dénoncé un "vol" de l'élection et la manipulation du système informatique. Il a obtenu le recomptage "bulletin par bulletin" des procès-verbaux dits "incohérents" qui, selon lui, montrent un "schéma de fraude où la reconnaissance biométrique n'a pas été utilisée et où les procès-verbaux ont été rédigés de manière arbitraire". Pas de proclamation immédiate Dans la semaine, la présidente de gauche du pays, Xiomara Castro, avait dénoncé la "falsification" du résultat et l'"ingérence" de Donald Trump. Jeudi, Mme Castro a réaffirmé que le processus électoral est "sérieusement remis en question" en raison du "manque de transparence", de la coercition d’électeurs par des membres de gangs et des "menaces" de Trump. Son parti Libre, invoquant une "ingérence" des Etats-Unis, réclame une "annulation totale" des élections. Le président américain avait mis en garde sur des "conséquences" pour le Honduras si le résultat n'était pas favorable au candidat choisi par la Maison Blanche. Malgré les appels à la mobilisation à gauche, les manifestations et sit-in évacués par la police, et le climat de suspicion ambiant, le lancement du "dépouillement spécial" a abaissé les tensions. "Le calme est revenu car on va avoir un président. Avant, on pensait que non, mais là, ils sont en train de compter", veut croire Sandra Suazo, avocate de 68 ans, devant l'entrepôt où se déroulent les opérations. Le nouveau chef des Forces armées, Hector Valerio, a lui aussi oeuvré pour que cette dernière ligne droite se passe dans le calme, affirmant jeudi qu'il soutiendra "avec fermeté et responsabilité la volonté souveraine du peuple", lors de la cérémonie de passation de commandement qui a lieu tous les deux ans. Dans un pays où ont été menés plusieurs coups d'Etat, le plus récent en 2009 contre l'ex-président Manuel Zelaya, époux de Mme Castro, les militaires jouent un rôle fondamental. Selon la Constitution, le CNE a jusqu'au 30 décembre, soit un mois après le scrutin, pour délivrer les résultats. Si le recomptage des 28.000 procès-verbaux ne devrait prendre que quelques heures, selon le co-directeur du CNE, Bladimir Bastida, une proclamation officielle ne sera pas immédiate. Salvador Nasralla insiste pour qu'une fois ce "recomptage spécial" achevé, "les incohérences de l'ensemble du scrutin soient examinées", soit selon lui 8.000 procès verbaux de bureaux de vote. "Ca va se tasser" Cette période de flottement, dessinant des lendemains incertains, se ressent dans le commerce. Sur un marché en plein air du quartier Kennedy, à 600 mètres du dépouillement, Sandra Reyes, 31 ans, raconte avoir investi mille dollars dans de la marchandise de seconde main venue des Etats-Unis, mais "je n’ai rien vendu" se lamente-t-elle. "A cause de ces politiciens, j'ai peur de me retrouver avec le stock sur les bras. Les gens ont l'air d'avoir peur de dépenser", dit-elle. Même frustration pour Norman Sierra, 56 ans, vendeur de voitures d'occasion. "Ça fait peur, il peut y avoir des manifestations et on se fait caillasser" les véhicules, redoute-il. Fran Bulnes, vendeur de fruits de 46 ans, se veut optimiste. "Les gens étaient dans l'incertitude, parlaient sans savoir qui allait gagner, mais on espère que ça va se tasser, et je sens que c'est déjà plus calme".
15 / 15

 

  GÉNÉRALISTES
Alternatives Eco.✝
L'Autre Quotidien
Le Canard Enchaîné
La Croix
Le Figaro
France 24
France-Culture
FTVI
HuffPost
L'Humanité
LCP / Public Senat
Le Media
La Tribune
 
  EUROPE ‧ RUSSIE
Courrier Europe Centrale
Desk-Russie
Euractiv
Euronews
Toute l'Europe
 
  Afrique du Nord ‧ Proche-Orient
Haaretz
Info Asie
Inkyfada
Jeune Afrique
Kurdistan au féminin
L'Orient - Le Jour
Orient XXI
Rojava I.C
 
  INTERNATIONAL
CADTM
Courrier International
Equaltimes
Global Voices
I.R.I.S
The New-York Times
 
  OSINT ‧ INVESTIGATION
OFF Investigation
OpenFacto°
Bellingcat
Disclose
Global.Inv.Journalism
 
  MÉDIAS D'OPINION
Au Poste
Cause Commune
CrimethInc.
Hors-Serie
L'Insoumission
Là-bas si j'y suis
Les Jours
LVSL
Politis
Quartier Général
Rapports de force
Reflets
Reseau Bastille
StreetPress
 
  OBSERVATOIRES
Armements
Acrimed
Catastrophes naturelles
Conspis
Culture
Curation IA
Extrême-droite
Human Rights Watch
Inégalités
Information
Internet actu ✝
Justice fiscale
Liberté de création
Multinationales
Situationnisme
Sondages
Street-Médics
Routes de la Soie
🌞