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17.11.2025 à 09:31

Tom Cruise reçoit un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière

FRANCE24
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Au son de la célèbre bande originale de "Mission Impossible", saga emblématique de la carrière de l'acteur âgé de 63 ans, le comédien est monté sur la scène du Dolby Theatre de Hollywood sous les applaudissements chaleureux de ses pairs, dont Colin Farrell et Emilio Estévez avec qui il a partagé l'écran, ainsi que du légendaire Steven Spielberg, qui l'a dirigé dans "Minority Report" et "La Guerre des mondes". Malgré quatre nominations aux Oscars - en tant qu'acteur pour "Né un 4 juillet", "Jerry Maguire" et "Magnolia", et en tant que producteur pour "Top Gun: Maverick" -, il n'avait jusqu'ici jamais été récompensé. Visiblement ému, l'acteur a pris le micro pour exprimer sa gratitude. "Mon amour pour le cinéma a commencé très jeune", a déclaré la star, décrivant le grand écran comme le lieu qui lui a "donné faim d'aventure, de connaissance, de compréhension de l'humanité, de création de personnages, de narration, de découverte du monde". "Cela m'a ouvert les yeux" a-t-il ajouté. Le comédien est largement vu comme une des dernières grandes stars de cinéma, capable de remplir les salles sur son seul nom. Après la pandémie, ce fana de cascades a même été vu comme le sauveur d'Hollywood, grâce au succès de "Top Gun: Maverick", pour lequel il a renfilé son costume de pilote de chasse. Les Oscars d'honneur, décernés chaque année par l'Académie des arts et sciences cinématographiques, saluent les légendes du cinéma pour leur carrière et leurs contributions à l’industrie cinématographique. Au cours de la soirée, l'Académie a également remis des Oscars d'honneur à l'actrice Debbie Allen ("Fame"), au chef décorateur Wynn Thomas, et à la chanteuse country Dolly Parton, honorée pour son engagement humanitaire. La légende de la musique country, 79 ans, absente pour raisons de santé, a remercié l'Académie via une vidéo. "Nous n'avions pas grand chose à partager, mais mes parents m'ont appris que plus on donne, plus on reçoit de bénédictions", a dit la star qui soutient l’éducation et d’autres causes sociales via sa fondation baptisée "Dollywood". La chanteuse américaine a récemment annulé six concerts qu'elle devait donner en décembre à Las Vegas pour raisons de santé, en les reportant à septembre 2026.

17.11.2025 à 09:23

Santé: la ministre promet une simplification "massive" de l'administration

FRANCE24
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"Dès cette semaine, j'engage un mouvement de simplification massif de notre administration en santé", a déclaré Stéphanie Rist sur RTL. Ce projet "répond à ce qu'a dit le Premier ministre" Sébastien Lecornu, a-t-elle précisé. M. Lecornu a jugé vendredi nécessaire de mener une "réforme profonde" des agences régionales de santé (ARS). Ces organismes, qui dépendent du ministère de la Santé, sont chargés de mettre en oeuvre la politique nationale de santé au niveau local. Mme Rist avait, dans la foulée, adressé un courrier aux directeurs des ARS, assurant qu'il n'était pas question de les "démanteler" mais d'en faire les "bras armés" du ministère. La ministre a toutefois suggéré lundi qu'il était souhaitable de retirer certaines prérogatives aux ARS, évoquant un cas où l'une de ces agences s'était opposée à la décision d'élus locaux d'installer un dispositif d'imagerie médicale sur leur territoire. "Quand les départements, quand les élus du territoires considèrent qu'il faut le faire (et) qu'ils ont les financements à côté, ce n'est pas à l'administration centrale de dire +c'est autorisé ou pas+", a déclaré Mme Rist. "Nous avons besoin d'une administration de la santé forte mais recentrée sur son coeur de métier", a-t-elle conclu, sans donner de détail concret sur les mesures envisagées.

17.11.2025 à 09:21

Japon: l'économie se contracte au 3e trimestre, le gouvernement prépare son plan de relance

FRANCE24
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D'après une première estimation officielle publiée lundi par le gouvernement, le produit intérieur brut (PIB) de la quatrième économie mondiale a reculé de 0,4% sur la période juillet-septembre par rapport au trimestre précédent. C'est sa première contraction depuis un an et demi. Les analystes sondés par l'agence Bloomberg anticipaient un repli plus marqué encore (-0,6%). Cette morosité ne fait que renforcer la probabilité d'un colossal plan de soutien à l'activité, évoqué dès son arrivée au pouvoir le mois dernier par Sanae Takaichi,première femme à occuper le poste de Premier ministre au Japon. La ministre des Finances, Satsuki Katayama, a déclaré dimanche que le montant du plan serait "nettement supérieur" à 17.000 milliards de yens (95 milliards d'euros), selon les médias locaux. Le gouvernement devrait approuver le plan vendredi, d'après ces mêmes sources. Le PIB japonais avait gonflé de 0,6% au deuxième trimestre (croissance révisée en hausse ce lundi), après un premier trimestre plus ou moins atone (+0,2%), à la suite d'une quasi-stagnation sur l'année 2024. Selon les chiffres gouvernementaux, l'économie nippone a notamment été minée ces derniers mois par un affaiblissement des investissements privés dans l'immobilier. "C'est l'un des principaux facteurs de cette contraction: la chute de 9,4% des investissements résidentiels par rapport au trimestre précédent, reflétant l'impact des modifications du code du bâtiment introduites en avril, qui ont divisé par deux les mises en chantier", commente Marcel Thieliant, analyste de Capital Economics. Par ailleurs, l'économie japonaise, très dépendante des exportations, reste plombée par l'offensive douanière engagée par Washington, et ce en dépit de l'accord commercial conclu durant l'été entre les deux puissances — qui fixait à 15% les droits américains sur les produits japonais, en deçà des 25% dont ils étaient menacés. Au total, tous pays confondus, les exportations du Japon ont ainsi reculé de 0,1% en août sur un an, leur quatrième mois de recul consécutif. Elles se sont redressées en septembre, grâce aux semi-conducteurs, mais les exportations nippones vers les Etats-Unis ont continué de plonger (-13,3% sur un an). Tensions avec la Chine Certes, pour Ryutaro Kono, économiste de BNP Paribas, il n'y a pas lieu de considérer cette contraction économique du troisième trimestre comme "particulièrement préoccupante". "Les exportations ont rebondi en septembre par rapport au mois précédent, et nos enquêtes (...) indiquent que la conjoncture générale du secteur exportateur ne s'est pas détériorée malgré les hausses des droits de douane américains, et la volonté des entreprises d'investir reste solide", explique-t-il. Pour autant, les tensions actuelles avec la Chine, suite aux propos de Mme Takaichi sur Taïwan, risquent de dégénérer en un conflit commercial ouvert, avertit Marcel Thieliant. "Plusieurs scénarios sont possibles, mais le principal risque réside dans une restriction des exportations de terres rares par la Chine ou dans l'imposition de restrictions sur les exportations japonaises", a-t-il averti, avant la publication du PIB. "Les constructeurs automobiles semblent particulièrement vulnérables, car ils subissent déjà une pression énorme du fait de la montée en puissance des constructeurs chinois de véhicules électriques", sur fond de guerre de prix dans le secteur en Chine continentale, ajoute-t-il. D'ores et déjà, les actions des groupes japonais liés au tourisme et à la distribution plongeaient lundi à la Bourse de Tokyo, après que Pékin a déconseillé à ses ressortissants de voyager au Japon. Inflation tenace Enfin, même si elle résiste, la consommation privée demeure quasi-stagnante sur fond de pressions inflationnistes tenaces. L'inflation au Japon a encore accéléré en septembre (+2,9% sur un an) après s'être modérée les mois précédents, tirée par les prix du riz et de l'énergie. "Le repli du PIB réduit encore les chances d'une hausse des taux de la Banque du Japon (BoJ) en décembre, mais nous pensons néanmoins que l'institution reprendra son cycle de resserrement monétaire lors de sa réunion de janvier", estime M. Thieliant. Pour contrer le retour de l'inflation, la BoJ avait entamé en mars 2024 un resserrement de ses taux, après dix ans de politique monétaire ultra-accommodante, mais elle a suspendu cette dynamique après janvier dernier face à l'assombrissement de l'horizon économique.
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