Avant-hier, en Guinée-Bissau, l’armée a arrêté Umaro Sissoco Embaló, le président sortant, puis investi le général Horta N’Tam comme “président de la transition”. Un coup d’État que l’Union africaine condamne “sans équivoque”, alors que le pays attendait les résultats d’élections controversées.
Avant-hier, en Guinée-Bissau, l’armée a arrêté Umaro Sissoco Embaló, le président sortant, puis investi le général Horta N’Tam comme “président de la transition”. Un coup d’État que l’Union africaine condamne “sans équivoque”, alors que le pays attendait les résultats d’élections controversées.