Aurore Juvenelle archivait, Janna Behel étudiait, Thierry Vimal chroniquait. Trois mois et demi, ils sont restés sur les bancs désertés du Palais de la Cité, à suivre le procès d’un des attentats les plus meurtriers et les plus inclassables de l’histoire : celui du 14 juillet 2016 à Nice.
Aurore Juvenelle archivait, Janna Behel étudiait, Thierry Vimal chroniquait. Trois mois et demi, ils sont restés sur les bancs désertés du Palais de la Cité, à suivre le procès d’un des attentats les plus meurtriers et les plus inclassables de l’histoire : celui du 14 juillet 2016 à Nice.